Bonjour le regard chez les autres !
L’immeuble en construction à côté de celui du Cantalou a des fenêtres et balcons qui auront une vue presque directe dans les logements de l’immeuble du Cantalou, si le vis-à-vis a été respecté dans la réglementation des distances, il a dû l’être au minimum !
Presque direct est le bon terme, car la vue sera oblique, mais directe en étant au balcon, lorsque ce sont des particuliers qui font une construction les mesures sont regardées avec attention, pas là ? (cela m’est arrivé)
Imaginez-vous entrain de déambuler chez vous et qu’un voisin se mette, ou ne s’y mette pas puisque les fenêtres sont très proches, et puisse regarder chez vous sans gêne... (dans tous les sens du terme, il n’est pas gêné physiquement et n’aura pas de difficulté pour regarder chez vous) encore un peu et il déposera plainte pour exhibitionnisme si vous vous promenez nu !
Même si la réglementation le permet, comment un architecte peut-il concevoir une construction où les occupants pourront regarder chez les autres par la fenêtre et, surtout, comment cela peut-il être accepté ?
La construction « l’Orée des Sentes » (à la place du foyer Kérautret rue Benfleet qui devait être réhabilité ou reconstruit) a des panneaux pour empêcher le regard sur la cité Oradour, sera-ce pareil ? Verra-t-on des panneaux sur le côté des fenêtres et des balcons pour empêcher le regard direct ?
Les constructions à la place de Panotel [Green land], sont dans le même cas vis-à-vis des pavillons qui sont dans la courbe rue des Mares autour du square, pourtant les occupants avaient demandé un aménagement qui avait été accepté lors d’une réunion, acceptation verbale qui ne vaut que ce que celui qui la prononce lui accorde. (s’il y en a eu un, d’aménagement, il est minime)
(vous devriez être d’accord avec moi : pourquoi ne pas avoir obligé, ou fortement insisté, le promoteur à donner un nom français ou de consonance française ? Traduit mot à mot cela donne : allée verte, il n’y aura que cette allée qui le sera après tous les saccages qu’a fait faire ou laissé faire not’bon maire ! Sur les plans nous avons vu des arbres fruitiers, ça risque d’être comme un vol d’étourneaux lorsque les fruits commenceront à mûrir. [nous verrons si cela se produit]