:
Romainville. Le doigt là où ça fait mal ! Très MAL !!
:
Que s'est-il passé, que se passe-t-il dans le quartier des grands champs, et à Romainville ?
Ne rien publier de ce blogue sans en avoir eu l’autorisation .
Pas de commentaires anonymes !
Elle est bien bonne celle-là, not’bon maire et un aréopage d’élus et de « personnalités » ont inauguré une pépinière d’entreprise rue de la fraternité avec coupure de ruban, rien n’est trop beau pour faire m’as-tu vu.
Pas de quoi se gonfler d’orgueil, depuis 20 ans que not’bon maire laisse partir des entreprises et sociétés, avec les emplois qui vont avec, soit des centaines peut-être des milliers d’emplois de perdus et là, elle fait le cake en ventant une nouvelle merveille qui devrait créer des emplois avec l’aide de la ligne T1 qui va passer à moins de 100 m ? Comme si le passage du tram allez inciter des employés et ouvriers à venir y travailler, pour certains oui, mais certainement peu il faut autre chose comme des lieux pour manger, ceux qui habitent dans cette rue et alentour savent qu’il n’y a rien de ce côté de l’autoroute, mais par rien, c’est RIEN, pas un commerce ! Même pas un rad.
Comment vont faire les dirigeants, représentants, clients et autres de ses entreprises pour venir travailler, passer des commandes ou présenter des produits ? Les contactes par le net ne suffisent pas toujours, il faut très souvent des contactes physiques, tout ne ce fait pas comme pour le commerce en ligne.
Si nous mettions en rapport les emplois perdus et ceux qui « vont peut-être » être créés, le compte ne sera pas en faveur de not’bon maire et de sa clique !
Dire que le quartier de la Fraternité a désormais un lieu pour que des artisans, sociétés et entreprises puissent s’installer dans les alentours ne manque pas d’air ! Il n’est pas nécessaire de remonter à des dizaines d’années, non, au début de la première nomination par le conseil municipal de not’bon maire il y en avait beaucoup ainsi que des commerces (comme dans tous les autres quartiers de Romainville), la construction de l’autoroute A3 a fait partir de nombreux d’entre-eux, mais il en restait pas mal et s’ils sont partis c’est à cause du manque de desserte de cette partie de Romainville ; souvenez-vous que not’bon maire et ses sbires demandaient la fermeture de la sortie A3 de Romainville, elle avait même organisé le blocage de cette autoroute (juste avant la sortie Romainville, sous le pont Jean Jaurès) en ne laissant passer qu’une file de véhicule en distribuant des tracts, le champion Romainvillois incitait des habitants à militer pour la fermeture de celle-ci, cela n’a pas facilité le fonctionnement de l’activité, alors maintenant se présenter comme un sauveur… il faut avoir un culot d’enfer !
Et devinez qui est le réalisateur de cette « pépinière » ?
Gagné : AB Group ! (qui vient de dire encore lui ?)
Un article est paru dans le magasine de la ville et sur Facebook, si vous n’êtes pas allergique à l’écriture inclusive allez le lire.
Décidément, ça n’en finira jamais.
J’étais sur le départ, quand, voilà que ce matin, je reçois un appel du commissariat du 17 ème.
Un fonctionnaire très urbain (plus que son collègue des Lilas) me demande s’il peut me poser quelques questions sur une procédure pendante (JC : dico).
Merde alors, me dis-je (je suis aussi grossier en privé qu’en public), voilà la stupide affaire de la « menace de mort réitérée » (et non du « double appel au meurtre » comme j’ai cru pouvoir l’écrire par erreur l’autre jour) qui refait surface.
Mais non, la troublante connivence qu’avait démontrée cette affaire entre notre mairie et la police lilasienne n’a pas pu aller bien loin.
Il s’agit cette fois d’une lettre anonyme, parvenue il y a un an entre les mains de la maire Valls et de sa majorité (pièce jointe) qui taxait notre blanche colombe de corruption dans ses relations avec AB GROUP.
Tentons de rendre l’affaire claire.
Cette lettre m’était parvenue anonymement également dans ma boite aux lettres.
Je compris rapidement qu’elle n’avait rien de confidentiel puisqu’elle avait pour autres destinataires Le Procureur de la République, le Parquet National Financier, le Parisien et Le Monde (Je devais apprendre par la suite que notre députée, ainsi qu’elle le révéla dans son Facebook du 23 mai 2019 avait elle même reçu ce factum (JC : dico) dès le mois de février).
Conforté sur le côté public de l’affaire, je décidai, avec retard d’en informer les destinataires de mes « propos » d’autant que, sans avoir la moindre preuve me permettant d’accuser notre duo de corruption, je possède, comme bien d’autres, des « indices concordants » ne me permettant de rester l’arme au pied (JC : style figuré).
J’écrivis donc, le 17 mars 2019, un propos (pièce jointe) dans lequel je racontais l’affaire.
Je joignis à cet écrit le papier que Champion avait distribué à ses fidèles du mgc (à propos, je n’ai pas entendu parler du remplacement du vice président démissionnaire…), papier que vous trouverez en troisième pièce jointe.(la seconde étant la lettre anonyme elle-même.
C’est de cette affaire que souhaitait m’entretenir la police du 17ème.
On se contenta de m’expédier par mail un questionnaire auquel je répondis par le même vecteur.
Tout ce que je sais, donc, c’est qu’il s’agit d’une plainte en diffamation.
Dès lors, elle ne peut provenir que du DUO ou d’AB GROUP.
Enfin, comme, à ma connaissance, il n’y a pas eu de demande de protection fonctionnelle (le duo est près de ses sous), je pense que c’est à AB GROUP que nous devons les présents événements.
Grand bien leur fasse.
Tout le monde sait ce que je pense d’eux et du duo, et on ne s’étonnera pas que je souhaite ardemment que la présente procédure permette d’exhumer les cadavres qui se parcheminent (JC : dico) dans les placards romainvillois, cadavres dont je crains que certain candidat à la mairie ne contribue à leur enterrement définitif.
Récapitulons :
Quel a été mon rôle dans cette affaire ?
J’ai révélé à mes nombreux destinataires privés une lettre anonyme quasi publique.
Un de mes destinataires (JM) a mis ce « propos » sur Facebook, comme il fait, avec mon accord, pour tous mes « propos ».
« L’œuvre est, de ce fait, devenue « publique ».
J’ai « partagé » cette diffusion et suis donc devenu le co-auteur de JM.
Voilà.
Tout cela n’est pas bien grave (pour JM et FLC).
Tout cela m’aura permis de vous rafraîchir la mémoire.
Tout cela permettra (je l’espère) à JM de diffuser le présent envoi sur facebook.
Tout cela me permettra de « partager ».
Et la boucle sera bouclée.
Salut à tous.
Bonne année à la plupart.
François Le Cornec
PS : Vous vous souvenez sans doute que le duo avait été débouté des plaintes qu’il avait déposées contre Momo et Joyce, suite notamment à la diffusion du superbe film (« Résidents de la République ») réalisé par Joyce sur et à propos de l’expulsion d’une famille de Gagarine : les Diassiguy.
Apparemment, les tourtereaux ne font pas appel du jugement.
Mais….
Mais le prince consort avait été condamné à verser à Joyce 3 000 euros d’amende.
Alors là, dès qu’il s’agit de pognon, on ne rigole plus et Champion a fait appel de cette décision .
Moi, je serais Joyce, après m’être assuré que JC paye bien les frais de justice, je déposerais plainte à mon tour pour « abus de procédure », et je demanderais d’importants dommages et intérêts.
C’est en février que Joyce est convoqué pour s’expliquer.
Je ne vous étonnerai pas en vous disant que, en cette période, communément appelée « Trêve des confiseurs », les sujets d’écriture se font rares.
J’allais donc goûter un repos bien mérité lorsque deux amis sont venus me donner du grain à moudre (pour JC, il s’agit là d’une expression figurée qu’il ne faut surtout pas prendre au pied de la lettre… deuxième expression figurée).
Puisque nous parlions de confiseurs, c’est précisément de sucreries qu’il va être question.
Mes deux amis, donc, s’étaient rendus, jeudi dernier au Service de l’Urbanisme de notre mairie.
Pour quoi faire ?
Ils ne me l’ont pas dit, car, ayant des sympathies pour toutes les futures listes en présence (sauf une dont j’ai, jusqu’à présent, des raisons de me méfier), j’ai demandé à tous les candidats de ne me faire aucune confidence, craignant que, ayant la langue trop longue (Pour JC : j’utilise toujours le figuré), surtout quand j’ai bu un coup de trop, je ne révèle des informations confidentielles à des oreilles ennemies.
Mes copains m’ont tout de même rapporté un petit truc qui a fait mon bonheur et fera, je l’espère, le vôtre :
Sur le bureau des employés était déposé un pot de miel.
Et alors ?
Ça n’a rien d’extraordinaire.
Attendez, car je vais vous révéler un détail qui change tout.
Ce pot, l’inscription qui figurait dessus, précisait qu’il avait été avait été offert au service’ de l’Urbanisme par ….AB GROUP.
Trop beau pour être vrai, non ?
Ceci appelle chez moi deux réflexions :
Tout d’abord, moi, si j’avais été AB Group, c’est un seau, voire une barrique de miel que j’aurais offert à ces modestes employés qui habitent peut-être un de ces logements sociaux qui contribuent à dévaloriser les superbes constructions d’AB Group.
Surtout, lorsqu’on voit qu’AB GROUP graisse la patte des employés de l’Urbanisme (ou plutôt la sucrent), on se demande s’ils procèdent de même avec l’encadrement et ce qu’il leur donne.
ON SE DEMANDE SURTOUT, IN CAUDA VENENUM (JC : pages roses) SI LE GRAND MANITOU DE L’URBANISME, J AI NOMME LE MAIRE ADJOINT QUI DIRIGE CE SERVICE, REÇOIT QUELQUECHOSE, ET QUOI.
Loin de moi la moindre idée d’avoir le plus petit soupçon sur le mari de notre maire, son prince consort.
Mais enfin…
Si l’on sucre les subordonnés, on se demande bien pourquoi on ne ferait pas de même avec les supérieurs.
Cette question de l’honnêteté du duo, je me la pose souvent, et je ne suis pas le seul, puisque je viens d’être informé que l’on se la pose jusqu’à Bobigny.
Vous avouerez que, sans être exagérément suspicieux, on est bien obligé de s’inquiéter quand on apprend que, rue Kérautret, un mec a pu acheter un bien communal à 85 000 EUROS EN DESSOUS DU PRIX DES DOMAINES.
Cette curiosité redouble quand on apprend que le même mec est propriétaire du terrain mitoyen de la propriété du duo et que l’on ajoute que nos petits coquins envisageraient, si l’on parvient à édifier un monstrueux bâtiment sur la casse du 88 rue Paul de Kock (tiens, les revoilà…) de lancer à leur tour un beau petit projet immobilier.
Mais nous voici bien loin du service de l’Urbanisme.
Nous voici bien loin d’AB Group.
Comment ne pourrait-on pas se demander comment ce dernier reconnaît les multiples faveurs dont il est l’objet de la part de la municipalité.
Vous pensez bien que, rendu prudent pour avoir failli me retrouver en justice dans une affaire de « DOUBLE APPEL AU MEURTRE », je me garderai bien de porter la moindre accusation contre nos tourtereaux.
Je me contenterai donc de préconiser que, l’affaire étant à mes yeux très grave, elle ne puisse être éclaircie qu’en justice.
Et puis, vous l’avez deviné, je répète et je ne me lasserai pas de le faire : je mets publiquement en demeure tous les candidats à la succession de la maire de ne pas se contenter de dire que « demain, on rasera gratis » (pour JC : figuré encore).
Ils ne peuvent pas faire fi d’un passé aussi compromettant, sous peine de sembler être les complices d’un problématique duo.
Ce portos hante mes nuits et mes jours, et pas seulement parce qu’AB Group va construire, rue de l’Abbé Bourbon une de ces horreurs dont il a le secret, qui me pourrira la vie jusqu’à la fin de mes jours. *
D’autres que moi en seraient malades, et AFONSO a tout fait pour ça, lui qui s’était permis de téléphoner chez moi, prévenant aimablement mon épouse :
« Vous devriez me vendre votre terrain, madame, aux conditions que je suis prêt à vous préciser. »
« Quand l’immeuble que je vais construire rue de l’Abbé Bourbon aura vu le jour, votre bien perdra sensiblement de la valeur. » 1)
Sacré AFONSO ; il a eu du pot de ne pas tomber sur moi, car je lui aurais expliqué comment je reçois les guignols de son espèce.
Il ne me croira pas, AFONSO, si je lui dis que, pour moi, l’argent, le pognon, les pépètes, les escudos, ne sont pas la valeur première, celle qui dirige le monde.
Même les gens avec qui je suis actuellement en froid (hein, Stéphane…) ne diront pas le contraire.
C’est sûr, je ne suis pas dans le besoin, mais, à l’inverse de certains de mes ex-collègues, ma profession ne m’a pas permis de faire fortune.
Je ne m’en porte pas plus mal, et, dans mon petit jardin, je mène une vraie vie écologique, récoltant patates, haricots verts, betteraves rouges ( !!!!), maïs cette année, etc. 2)
AFONSO, ça doit le faire rigoler, en compagnie de son compère Champion.
Eux, c’est le flouse, leur règle de vie.
On échafaude toutes les combines : ventes aux prix des domaines, transformations de terrains non aedificandi en aedificandi (JC : pages roses…), préemptions, expulsions.
Quelquefois, on va plus loin : On refuse un permis de construire pour en proposer un autre, avec AB Group en prime. 3)
Bien sûr, on laisse quand même de la place aux gros, Fiminco, Eiffage, Bouygues, LNC, COGEDIM, etc., car ces gens-là pourraient devenir dangereux (bien qu’on fasse tout pour les amadouer sur Radio Immo) si on ne leur faisait pas une place autour de l’assiette au beurre.
AFONSO décroche quand même de gros marchés, comme celui qui s’achève, rue de Benfleet, sur l’ancien site de Panotel.
J’espère qu’il en sera reconnaissant envers le duo.
Ce dernier lui aura, en effet, outre l’attribution de jolis contrats, rendu de fiers services.
C’est, en effet, Champion qui est toujours monté à sa défense, d’abord en distribuant aux ilotes (JC : dico) du MGC un vade-mecum (JC : dico) leur permettant de riposter aux attaques concernant les multiples ventes au prix des domaines, ensuite en affirmant avec un culot sans pareil que la gymnastique d’AB Group permettait de fournir du travail aux romainvillois, de leur donner la possibilité d’acheter des appartements, ces derniers demeurant à un prix accessible. 4)
TROP, C’EST TROP !
Quand je vois un minus comme Champion oser débiter de pareilles balivernes 5), j’écume de rage, comme j’écume de rage quand j’imagine que ces pignoufs pourraient disparaître sans avoir rendu de comptes.
Vous voyez, bien sûr, où, une fois de plus, je veux en venir.
J’observe avec intérêt la constitution des listes pour les prochaines élections municipales.
Je commence à lire avec attention les esquisses de leurs programmes.
Bravo à tous, mais je vous préviens, mes gaillards, si vous ne prenez pas une position ferme et définitive sur le duo et ses complices, en clair, si vous ne les traînez pas en justice, le modeste citoyen que je suis s’opposera de toutes ses forces à votre élection et vous tiendra pour leurs complices.
Salut à tous.
François Le Cornec
PS : pour vous faire rire un peu et vous montrer à quel niveau se situent AFONSO and Co, je vous joins en annexe, les deux prospectus, bourrés de fautes qu’il distribue pour vendre ses projets de l’avenue Gaston Roussel et de la Place Carnot.
Je souligne à nouveau que, pour ces voyous, L’ABSENCE DE LOGEMENTS SOCIAUX EST UN FACTEUR POSITIF QUI FACILITE LA VENTE… 6)
-- -- -- -- -- -- -- -- -- -- -- -- -- -- -- --
Commentaires de Maurice avec l’approbation de François
*) Ce qu’il se passe actuellement pour un riverain du complexe sportif Colette Besson peut te donner des idées pour éviter des ennuis.
1) Malheureusement, tu nés pas le seul dans ce cas ! (tu le précises plus loin) j’ai eu aussi une personne qui m’a proposé d’acheter mon pavillon « à un bon prix ».
2)Ton joli petit pavillon de ba,lieue comme l’a appelé une élue il y a quelques années.
3)Il arrive que le refus de permis de construire concerne une extension pas une construction proprement dite et parfois pour quelques centimètres de trop en hauteur OU, pour des matériaux qui « seraient en contradiction » avec la réglementation des monuments historiques alors que d’autres construisent des horreurs dans ce même secteur.
4) Je suis curieux de connaître, en pourcentage, le nombre d’appartements achetés par des Romainvillois !
Dans des discutions que j’ai eu avec des personnes ayant achetés dans les nouvelles constructions, ce sont plus des personnes qui achètent plusieurs appartements afin de les louer, quant à ceux qui travaillent su les chantiers, nous constatons tous que ce sont des Romainvillois pur jus !
5) Il en a dit bien d’autres comme « la cité des Mares » construite sur une mare ! Et tout ça dit avec le plus bel aplomb comme une vérité biblique ! (biblique rouge évidemment en référence à ses origines politiques)
6) Faire une recherche sur l’obligation de construire des logements sociaux en même temps que du locatif privé, il est probable que Romainville soit une commune où ce ne soit pas une obligation à cause du nombre actuel de ses logements.
Je ne sais pas si ça intéresse grand monde, surtout que je ne cesse de me répéter, mais j’éprouve le besoin de faire le point, en ce moment où nous sentons que nous allons entrer dans le vif du sujet, je veux dire dans la campagne électorale.
Chacun sait que je n’ai qu’une obsession : que la maire Valls disparaisse avec son pauvre mari et tout le fourbi, sans laisser la moindre trace.
De ce côté-là, j’ai tout faux puisque, à trois mois de son départ, elle ne cesse, comme si elle était en début de mandat, de lancer programme immobilier sur programme immobilier.
Elle veut manifestement tout faire pour engager son successeur, quel qu’il soit, pour de nombreuses années.
C’en est devenu une maladie, comme est devenu une maladie chez moi le désir de lui faire rendre des comptes pour le passé, le présent et l’avenir.
C’est sous cet angle que j’examine les candidats à sa succession.
Il y en a deux que je connais très bien et un, que j’apprécie, qui tarde à se manifester.
Mais voici qu’entre en fanfare dans l’arène un outsider non dépourvu de talent, habile à manier le verbe, et qui semble rompu à toutes les joutes (JC : dico) électorales comme commerciales.
Il met les bouchées doubles et suscite tant d’adhésions, surtout féminines, qu’il faut bien en venir à y regarder de plus près.
Je vais, à partir d’ici, adopter un style télégraphique :
Il exerce un métier à quoi je n’aurais certes pas pensé : la réinsertion sociale.
La Revue Dessinée, dans sa dernière livraison, traite du contrat à impact social (CIS).
Lisez-la si vous voulez en savoir plus.
Il s’agit, en quelque sorte, d’une nouveauté qui n’est pas nouvelle :
Le « social » devient un investissement comme un autre, par lequel des capitalistes entreprennent de rentabiliser leur mise.
Moi, ça m’a choqué, jusqu’au moment où j’ai réalisé que ça existait depuis longtemps, et qu’il fallait bien en passer par là puisque l’État se retirait de plus en plus du domaine considéré.
Je suis honnête et j’ajouterai donc cette phrase écrite par un des auteurs de la BD : « J’ai fait (à l’occasion de l’enquête) des rencontres positives, comme celle de X (c’est notre candidat), qui a des convictions sincères ».
Dont acte.
Mais l’auteur ajoute : « j’ai senti que la logique économique prédominait dans les raisonnements et la question qu’on se posait était : accompagner quelqu’un doit-il être évaluable, voire rentable ? »
Notre candidat ayant « reçu un satisfecit » un vrai, lui, nous n’y reviendrons pas.
Nous y reviendrons pourtant si cette même personne devient candidate à une élection dans le lieu même où elle officie, où elle entretient des relations économiques avec la personne à qui elle envisage de succéder.
Renseignements pris, ce n’est pas illégal.
Ce n’en est pas moins limite, et un examen approfondi pourrait envisager là un conflit d’intérêts.
J’ajouterai que la candidature du monsieur a été reçue avec un concert d’acclamations si enthousiastes que cela sent un peu une opération organisée de main de maître.
Je finirai en notant que l’appel à la « fusion » lancé par un groupuscule aurait gagné à être précédé d’une concertation minimale.
Conclusion : Dieu seul sonde les reins et les cœurs.
On ne peut condamner un nouveau candidat sans « plus ample informé » (JC : dico).
Je ne porterai de jugement définitif sur notre outsider que quand je serai certain de sa position vis-à-vis… de la maire.
J’entends (et j’espère être suivi) que celle-ci rende des comptes après ses deux pestilentielles décennies.
Pour cela, j’ai déjà demandé aux candidats de se positionner.
Mais j’avais tort quant à la manière de le faire.
Je sentais bien que, quand je parlais d’audit, les réponses n’étaient pas nettes.
Elles demeuraient évasives.
Je viens (enfin !!!) de comprendre :
CET AUDIT, IL EXISTE : C’EST LE RAPPORT DE LA CHAMBRE DES COMPTES D’ÎLE DE France, SUIVI DU RAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR SUR LE PLU PATRIMONIAL.
IL SUFFIT AUX CANDIDATS DE SE JOINDRE A LA PLAINTE AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE QUE J’AI DÉPOSÉE SUR LA BASE DU PREMIER, OU, car je ne veux pas me pousser du col (JC : dico) DE DÉPOSER UNE PLAINTE PARALLÈLE.
Ici, plus de faux-fuyants.
Il va être beaucoup plus facile de savoir rapidement à qui on a affaire…
Il n’y a plus d’eau au robinet rue Irène Joliot Curie, aucune information ne nous a été donnée les jours précédents pour nous en avertir, pas de travaux dans et aux deux extrémités de la rue, Veolia eau service urgence coupure d’eau ne répond pas ou plutôt un message est diffusé comme quoi tout le service est occupé.
C’est une rupture de canalisation presque en bas de la rue qui est la cause de l’arrêt de la distribution d’eau.
La distribution est revenue vers 16 h, auparavant, il y a eu une distribution d’un pack de 6 bouteilles d’eau de 1,5 l aux abonnés.
Nos zélites municipaux feraient-ils fi de la réglementation ?
Le gymnase Colette Besson a été construit en respectant la distance vis-à-vis des limites de terrain, mais, l’activité de ce gymnase génère des nuisances sonores du fait de l’activité avec des ballons parfois jusqu’à 22 h et le dimanche.
Et ce n’est pas tout, cette construction génère une perte d’ensoleillement et visuel !
Pas mal pour un bâtiment validé par les services municipaux. (je ne dis pas que leurs compétences sont douteuses, mais auraient-ils eux aussi obéi aux ordres, comme un retraité à qui une personne de la maison des retraités a téléphoné pour lui dire que sa venue n’était plus souhaitée et qu’elle lui disait ça pour obéir aux ordres)
Évidemment, les services ont dû faire des relevés pour démontrer que le bruit était tout à fait acceptable, lorsque l’on a eu affaire au service concerné pour effectué des relevés sonores, il y a de quoi sourire ! j’ai eu ainsi qu’au moins une autre habitation pour des nuisances sonores : la personne est venue et tout de suite a dit ne pas pouvoir installer son matériel, car quelqu’un y avait touché et au miracle lorsque le bruit a cessé, il y est arrivé et a relevé le bruit ambiant. (un voisin était présent comme témoin)
Que sont les valeurs limites d’après la loi :
Les valeurs limites
Les valeurs admises de l’émergence sont calculées à partir des valeurs de cinq décibels A dits dB(A) en période diurne (de 7 h à 22 h) et de 3 dB(A) en période nocturne (de 22 h à 7 h). Ainsi, si une différence de 5 dB(A) est enregistrée pendant une période diurne, entre le bruit ambiant et le bruit résiduel, le dépassement est caractérisé.
Le bruit ambiant est le bruit relevé en temps normal dans l’habitation, et dans certains secteurs de la ville, suivant les matériaux de construction, ils peuvent être très faibles.
Ça va être coton d’insonoriser ce bâtiment (gymnase Colette Besson) de manière à satisfaire à la réglementation et par la même au voisinage sans compter que pour la perte d’ensoleillement et de perte de vue, je ne vois pas comment cela va être faisable ; et ce n’est pas tout, il y a un immeuble qui est en construction pas loin, lorsqu’il y aura des habitants dans cet immeuble, ne vont-ils pas se plaindre eux aussi de nuisances sonores ?
Personne, lors de la conception de ce gymnase, n’a pensé que des activités pourraient générer des nuisances qui gêneraient le voisinage ni qu’il créerait une perte d’ensoleillement et visuelle. Je connais des constructions en cours qui sont dans le même cas avec en sus une vue directe de la par des habitants qui s’accouderont à leur balcon, une vue direct chez les habitants de pavillons limitrophes à moins qu’un brise-vue ne soit posé.
La municipalité qui va prendre la suite de celle-ci est d’ores et déjà prévenue qu’un sac de nœuds lui est déjà mis sur les bras en attendant les suivants qui sont imaginables (sac de nœuds pour être poli) peut-être que les fenêtres qui ont une vue directe dans les pièces de l’immeuble du Cantalou en font-elles partie ? Y a-t-il eu respect des distances de vis-à-vis ?
On peut s’attendre à tout, en effet, alors que va s’ouvrir la campagne électorale, et alors qu’est achevée la deuxième décennie de la maire Valls à la mairie.
Avec elle, en effet, et avec son mentor (JC : dico) Bartolone, tous les coups étaient permis, toutes les palinodies (JC : dico) admises, et ce sont ces règles qui vont s’appliquer, tout du moins de la part de ceux qui visent à lui succéder, sans remettre fondamentalement en cause la succession, en cachant sous le tapis les ordures accumulées pendant vingt ans.
Pourquoi cette entrée en matière ?
Il y a quelques mois, Momo me parla d’une association de jeunes, « au-dessus de tout
soupçon », qui avait pour but de faire s’exprimer les citoyens.
Je me rendis donc à l’une, puis à une autre réunion de cette association.
J’y entendis effectivement des citoyens (peu nombreux, à vrai dire) s’exprimer d’une manière intéressante sur les problèmes des cités.
À la tribune, il y avait deux personnes : un romainvillois pur sucre qui avait un bon contact avec l’auditoire, et l’animateur des débats qui s’exprimait avec une aisance telle que, vite, je demandai à Momo :
T’es sûr que ces gars-là sont francs du collier ?
T’as pas l’impression que nous sommes en train de nous faire emmener en bateau ?
Je viens d’apprendre que l’orateur sort de Sciences Po, et je peux te dire que ce genre de
bipèdes, ça ne court pas les rues du village.
D’autre part, ils obtiennent des salles quand ils veulent ; ils ont du matos de communication, et, dans la salle, j’ai l’impression qu’il y a des comparses…
Tu devrais te renseigner.
Ce que fit Momo, et il me confirma que la petite assoce était totalement indépendante.
Je suis peut-être crédule, mais j’ai toute confiance en Momo, que je sais être un homme totalement franc et honnête.
Je me le tins pour dit, et, ayant demandé à être tenu informé (je ne le fus pas), je quittai la salle de réunion pour vaquer à d’autres occupations.
Et puis, voilà que, cette semaine, j’apprends que cette sympathique association va fusionner avec une future liste que, jusqu’à plus ample informé, je tiens pour très liée, trop liée avec Corinne Valls.
Cette fusion est présentée comme un événement très important comme si les jeunes avaient, tels Saint Paul sur le chemin de Damas, reçu du ciel une révélation.
Après avoir charrié Momo, je vais vous dire ma façon de voir les choses.
Si vous êtes malin (et Dieu sait que certaines gens le sont à Romainville), vous utiliserez un procédé qui a fait ses preuves ailleurs :
Vous créez, ou suscitez la création d’un groupement, dont vous facilitez le développement.
Et puis un jour, pour enclencher un faux mouvement d’adhésion, vous annoncez triomphalement que ce mouvement va fusionner avec le vôtre.
Le procédé, trivial, mais efficace, est si tentant que l’on s ‘apprêterait à le renouveler avec une association du Bas Pays, dont je possède les coordonnées … que je ne vous révélerai pas.
Et la morale, là-dedans ?
Quelle morale ?
Qu’est-ce qu’on en a à foutre de la morale.
Quel sera, dans ce combat, le rôle (modeste) du pauvre Père François ?
Traquer par tous les moyens, les menteurs et les beaux parleurs, et, comme d’habitude, tout faire (je dis bien TOUT) pour que le duo ne quitte pas la scène impunie, et que ses successeurs ne tentent pas de les y aider.
Salut à tous.
François Le Cornec
PS : Les esprits se calment au 88 rue Paul de Kock, et les riverains reprennent confiance.
C’est une bonne chose, car il vaut mieux agir dans le calme…
Dans le chapitre I, l’on voit les habitants voisins du 88 rue Paul de Kock à Romainville accueillir avec stupéfaction et consternation la nouvelle que la maire a accordé au promoteur « Les Nouveaux Constructeurs (LNC) » le permis de construire, à l’emplacement d’une « casse » située au lieu dit un énorme building de 2826 mètres carrés et 10,90 mètres de haut qui va bouleverser leur environnement (comme détruira le mien, l’horreur que AB GROUP ( !!) s’apprête à pondre rue de l’Abbé Bourbon.).
Confiants dans les qualités humaines dont se targue (JC : dico) notre bonne maire, qui n’a eu de cesse, au fil des années, de rendre notre village philosophique et éthique, les mêmes voisins lui adressent alors un recours gracieux visant à obtenir le retrait du permis.
Chapitre II : Ils reçoivent bientôt de la maire une réponse circonstanciée, manifestement rédigée par un avocat (encore qu’il y ait une ou deux belles fautes), qui rejette leur recours et conclut que, s’ils veulent avoir gain de cause, il ne leur reste qu’à aller au contentieux, en clair à porter l’affaire devant le tribunal administratif.
Concomitamment (JC : dico), l’adjoint à l’Urbanisme et sa légitime, à l’occasion de l’ouverture des ateliers d’artistes, rendent visite à certains des opposants au permis et leur jouent un incroyable numéro, aussi scandaleux qu’inopportun :
CV s’offusque (Me faire ça à moi !!!!) cependant que le consort (le nom lui va si bien…) menace clairement : « s’il n’y a pas de permis de construire, le propriétaire de la casse va y installer un campement de gitans » (on remarque, au passage, toute l’estime que JC porte aux gens du voyage…)
Ces manœuvres d’INTIMIDATION vont se préciser dans une lettre de LNC, datée du 14 novembre et assignée à chacun des requérants par exploit d’huissier en date du 15 du même mois.
LNC, faisant état des étroites relations qu’ils entretiennent avec la mairie, et précisant que « celle-ci est très attachée à la mise en œuvre du projet », développent à leur tour une argumentation juridique, mais se permettent d’adopter, in fine (JC : dico) un ton comminatoire (JC : id).
Leur lettre sera jointe au présent propos, mais, comme il s’est avéré que certains ordinateurs ne permettent pas de recevoir des documents aussi « lourds », je préfère les citer.
Après avoir justifié le rejet du recours gracieux, prenant leurs désirs pour des réalités, ils ajoutent que « une éventuelle saisine du juge administratif serait nécessairement vouée à l’échec ».
Jusque là, rien à dire, mais l’avocat de LNC a le tort de vouloir aller plus loin.
Il écrit :
« Dans un souci de transparence et d’apaisement, ma cliente a convié l’ensemble des requérants à une réunion de discussion le 17 octobre dernier.
Cette réunion avait été organisée, là encore, en étroite collaboration avec les services de la Ville.
« Néanmoins, et comme vous le savez, aucun des requérants ne s’est présenté à ce rendez-vous, sans même en informer, en amont, ma cliente.
« Dans ce contexte, et en l’absence de toute discussion constructive possible, ma cliente se trouve contrainte de vous adresser le présent courrier (…)
« Si vous persistez, à des fins délibérément dilatoires, à contester la légalité du permis de construire, LNC considérerait votre demande abusive, et ne manquerait pas de faire valoir, devant les tribunaux compétents les préjudices qui pourraient résulter de votre démarche et notamment du retard pris dans la mise en œuvre de son projet. »
« Qui trop embrasse mal étreint » (JC : dico) et l’avocat de LNC (et de la maire…) s’est ici imprudemment avancé.
Il s’en apercevra tôt ou tard.
Salut à tous.
François Le Cornec
-- -- -- --
Commentaires de Maurice
Ses dernières années, il y a déjà eu de nombreux cas similaires ou des promoteurs, constructeurs, et autres ont menacé de tous les maux de la terre les riverains qui oseraient...
Le résultat est connu de tous ceux qui suivent un tant soit peu la vie à Romainville, rejet du permis de construire par le tribunal administratif de Montreuil-sous-Bois et pour certains condamnation à des indemnités !
Si je me souviens bien, le promoteur en face de l'église Saint-Germain-l’Auxerrois avait déjà vendu des logements, d’où le mécontentement de certains acheteurs qui se sentaient lésés et le faisaient savoir sur le net.
Il serait bien que ceux qui menacent s’en souviennent.
/fdata%2F0261208%2Favatar-blog-6914820-tmpphpuNdTXC.jpeg){kind=avatar}
