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Romainville. Le doigt là où ça fait mal ! Très MAL !!
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Que s'est-il passé, que se passe-t-il dans le quartier des grands champs, et à Romainville ?
Ne rien publier de ce blogue sans en avoir eu l’autorisation .
Pas de commentaires anonymes !
« je délivre un avis défavorable à l’inscription de cette extension du PLU ».
Que va faire not’bon maire et le thuriféraire de service ?
Vont-ils tenir-compte de cet avis ou, vont-ils dire comme cela a déjà été fait au sujet du permis de construire concernant la construction à la place du restaurent « bois perdu » en face de l'église Saint-Germain-l’Auxerrois en disant que l’avis de l’architecte des bâtiments de France avait été délivré trop tard. (une journée)
Vont-ils nous dire que ce n’est qu’un avis et qu’ils ne sont pas tenus de le respecter ? (Ils sont capables de beaucoup plus que nous l’imaginons !)
Je ne peux plus publier les propos du père François, car je ne les reçois plus dans un format que je peux publier, mes demandes de les recevoir comme autrefois en .doc au lieu de .pdf ne donnent pas le résultat souhaité. (soit en format document au lieu d’un format de publication comme une revue)
Je ferai des commentaires sur les propos « à part » lorsque je penserai qu’ils sont nécessaires.
La vaguelette qui était venue lécher mes talons s’est peu à peu transformée en véritable tsunami.
Occupé que j’étais par la promenade écologique de la Corniche (j’ai fait et diffusé hier quelques photos de l’immeuble en construction au « Trou Vassou », situé par hasard à toucher la zone de la forêt qui vient d’être transformée en éco pâturage pour moutons impropres à la consommation) je n’avais pas attaché suffisamment d’importance au devenir du PLU patrimonial présenté, à grands sons de trompes, par le concubin thuriféraire comme la cerise sur le gâteau de béton qu’il nous a concocté avec sa conconcon, sa conconcon, sa concubine.
« il faut quand même oser », m’étais-je dit : parler de patrimoine quand on est sur le point d’achever de saloper notre ville. (Regardez, par exemple, l’horreur qui est en train de s’élever sur la place du Marché, en face des cages à lapin du Disneyland...)
Moi, je voyais plutôt, dans le PLU patrimonial (le 14ème...) une manœuvre destinée à obliger les propriétaires concernés, désireux d’apporter la moindre modification à leur bien, à faire une demande motivée à la mairie, qui saurait faire de la moindre entorse au nouveau règlement une monnaie d’échange pour accroître sa « clientèle ».
J’ai même failli, pour rire un peu, faire semblant de céder aux propositions de DUO Transaction qui lorgnait ma propriété pour magnifier le programme immobilier qui jouxte icelle (JC :dico).
Qu’en pensez-vous ?
Et puis tout ça m’est sorti de l’idée.
Je suis venu à Romainville non pas pour spéculer, mais pour me rapprocher de mon copain Raymond (Nicolas le Jardinier) qui m’avait signalé, il y a bientôt trente ans, qu’une maison traditionnelle (en meulières, comme dans les romans de Simenon) était à vendre.
C’est comme ça qu’on se retrouve, au milieu d’un glacis de béton, dans une maison « patrimoniale », comme lions, tigres ou singes se retrouvent dans un zoo (ou dans un cirque) quand leur jungle ou leur forêt tropicale (comme la Corniche) a été rasée par d’ignobles capitalistes.
C’est dire que leur ridicule « PLU patrimonial », je m’en fous.
Je me plais à Romainville, mon « village », et ne le quitterai que les pieds devant.
Tout ça fait que je n’avais pas suivi la procédure de mise en place de cette quatorzième ( !!!!) modification du PLU.
Je n’ai donc appris que tardivement qu’un commissaire enquêteur procédait, comme le veut la loi, à une enquête publique précédant le vote éventuel, à la mi-février, par notre ineffable communauté de communes (bartolonesque) du résultat de ses diligences (pour JC : il ne s’agit d’un de ces modes de transport que l’on voit dans un vieux film).
Toujours comme le veut la loi, le commissaire enquêteur remit son rapport en temps et en heure, c’est à dire le 4 décembre 2018.
C’est là que les athéniens s’atteignirent (JC : dico).
En effet, encore comme le veut la loi, ce rapport eût du être publié incontinent (JC : dico).
Eh bien, il ne le fut pas.
Eh bien, vous n’allez pas me croire, mais, un mois et 13 jours plus tard, il ne l’est toujours pas.
Bigre de bougre !
Je sais bien qu’à Romainville, on est accoutumé à s’asseoir sur la légalité (regardez le sort qu’on a fait au rapport de la Chambre des Comptes d’Île de France).
Il se trouve que des gens comme moi ne s’accoutument pas à ces mœurs de sauvages.
Nous nous demandons donc ce qu’il peut bien y avoir dans ce fichu rapport pour que la communauté et la ville le maintiennent sous le boisseau (JC : dico).
Nous étudions les moyens de contraindre ces instances à respecter la légalité.
Je suis prêt, quant à moi à ester (JC : dico) devant le tribunal administratif.
Je compte sur vous, mes lecteurs, ainsi que sur les propriétaires mécontents pour me donner un coup de main.
Salut à tous.
François Le Cornec
PS : Pour toute personne qui pourrait m’adresser un exemplaire du fameux rapport ou me mettre en rapport avec le commissaire enquêteur, j’offrirais une ballade dans ce qu’il reste de forêt dans la corniche, sous la protection éventuelle de la Police Nationale, ou de la police locale (qui est constituée de simples employés municipaux) voire des deux.... *
(n’ot champion romainvillois va finir par être un crac en grammaire à force de l’inviter à consulter un dico !)
Les opposants au projet régional de la corniche des forts organisent le 15 janvier 2019, à 19 h, une réunion à la mairie des Lilas.
Ils expliqueront pourquoi ils ont déposé un recours contentieux, contre le permis d’aménagement accordé à la région, au tribunal administratif de Montreuil.
L’histoire de la Corniche des Forts, vous la connaissez par cœur, surtout si vous lisez 20 Minutes, Libé, Médiapart, les Inrockuptibles etc. ou si vous avez écouté la grande émission de Radio Libertaire consacrée à l’affaire. 1
Je ne vais donc pas vous la détailler.
C’est un projet de la région, partagé par les 4 communes circonvoisines : Romainville, Pantin, Les Lilas, Noisy-le-Sec.
Lancé au début du siècle sous une forme pharaonique (ouverture à brève échéance, deux piscines !! autant de visiteurs qu’Eurodisney) qui permit à Fiminco (déjà eux...) d’escroquer les commerçants de l’allée du Belvédère ; elle se réduisit pour n’être plus qu’une promenade écologique dans une Île de Loisirs (admirez le vocabulaire...).
C’était déjà un progrès, mais, entre temps, voilà que le GIEEC avait tiré la sonnette d’alarme : le réchauffement climatique est devenu un péril imminent et gravissime et la déforestation est une de ses causes principales.
C’est le moment choisi par nos lascars pour s’attaquer à la seule forêt sauvage de la région parisienne 2, abattre plus de 700 arbres et créer un « écopaturage » ( !!) sur lequel gambaderont des moutons IMPROPRES A LA CONSOMMATION DURANT 4 ANS à cause d’une pollution des sols récurrente et dangereuse.
La Région (nous avons voté pour Pécresse, Momo et moi, mais c’était pour virer Bartolone et je ne regrette rien, car, entre deux maux, il faut choisir le moindre)n’a pas lésiné sur les moyens en barricadant la forêt, en faisant appel à des maîtres-chiens ( !), à la police nationale et en utilisant in situ (JC : dico) d’énormes engins détruisant tout sur leur passage.
Ce hardi résumé pour en venir au véritable objet de mon propos.
Il s’est révélé que la Région (qui paie) ne se sent pas vraiment concernée par un projet pour elle mineur.
Les mairies de Pantin et des Lilas estiment obsolète (JC : dico) ce projet destructeur et demandent, comme les Amis de la Corniche, qu’il soit réduit à la simple création de sentiers sécurisés sans abattage d’arbres 3
La mairie (de droite) de Noisy reste muette par respect pour Pécresse.
La mairie de Romainville, en revanche, apparaît comme le véritable maître d’œuvre du projet.
La maire, qui n’est pas bien maligne, a trouvé le moyen d’écrire que l’abattage des arbres permettrait de lutter contre l’abattage des arbres.
Perverse comme d’habitude, elle a tenté d’obtenir le soutien des habitants des Bas Pays en leur faisant croire que ceux du centre voulaient conserver l’exclusivité de la forêt au détriment des prolétaires du Bas Pays, dont elle (CV) se faisait la championne.
Les listes de pétition qu’elle (et les gaullistes) ont distribuées au Bas Pays sont demeurées désespérément vides 4 cependant que la pétition des « Amis » va bientôt atteindre les 30 000 signatures.
La vérité, c’est que les prolos, les Bas Pays, la maire Valls, dont le « manque d’empathie » avait en son temps été relevé par Marianne, elle s’en fout.
Elle a d’autres raisons et on a vite compris que la zone défrichée (à toute allure pour qu’elle soit terminée avant que les recours en justice n’aboutissent) vient, « par hasard » mourir juste au pied d’un bâtiment que construit Eiffage au Trou Vassou 5, et des centaines d’appartements (dont une grande partie en accession à la propriété, qui vont être construits à Gagarine « pour favoriser la mixité sociale ».
Voilà comment une « promenade « écologique » se trouve transformée en argument de vente pour des promoteurs (et un duo) gloutons.
On ne comprend pas bien quel est l’intérêt des duettistes qui vont bientôt dégager.
Certains prétendent l’avoir deviné.
Il faudra leur demander.
En tout cas, le duo a la rage.
Alors que les amis de la corniche sont clairement des non-violents, se contentant de faire barrage de leur corps pour empêcher ou au moins ralentir les travaux, la partie adverse s’est toujours montrée très violente, agressive.
J’ai déjà parlé des maîtres chiens, particulièrement scandaleux.
Mais ce n’est pas tout.
On a d’abord vu une femme, sans doute dérangée, se jeter sur des « amis » et les arroser de gaz lacrymogène.
Cela se passait devant témoin et elle fut emmenée par la police nationale au commissariat, où les agressés déposèrent plainte. 6
On vit ensuite une équipe d’habitants des Bas Pays attaquer à trois reprises, au lacrymogène nos pauvres « amis » tout en récitant maladroitement une leçon nulle :
Les écolos (c’est ainsi qu’ils les appellent) jettent leurs mégots par terre.
Ils font chier leurs chiens dans la Sapinière.
Ils viennent sur place en 4x4.
Ils ne sont pas romainvillois.
Tout cela est faux et on voit le niveau.
Ces loustics, qui affirmaient vouloir défendre leurs enfants, avaient un meneur d’un certain âge, encore plus violent que ses troupes. 7
Une des trois fois, la Police Municipale, surgissant par hasard, sauva certes nos amis d’une mauvaise situation, mais ne releva pas l’identité du meneur et ne lui demanda pas d’ôter son casque.
INCOMPÉTENCE OU CONNIVENCE, OU BIEN OBÉISSANCE A DES ORDRES VENANT DE LA MAIRIE ? 8
Depuis lors, tout dernièrement, un « ami » venant à la Sapinière reconnaître les lieux, s’est vu tout simplement menacer de mort.
Il avait enregistré la voix de ses agresseurs et a déposé plainte.
TOUTES CES PLAINTES DEMEURENT SANS SUITE.
LA SEULE PROCÉDURE QUI AIT POUR LE MOMENT ABOUTI EST CELLE QUI A ÉTÉ INTENTÉE CONTRE UN « AMI » qui avait commis l’horrible crime de TAGUER SUR LA PALISSADE LE MOT PROVOCATEUR DE « ÉCOCIDE ». 9
Lui, il est convoqué le 15 février au TGI de Bobigny pour que soit jugé le CRIME qu’il a commis.
De qui se moque-t-on ?
On va s’arrêter de se foutre de nous ?
Moi je peux aider la police et la justice à faire leur boulot.
D’abord, je peux leur apprendre que mes limiers m’ont appris que les violents protestataires des Bas Pays SONT PAYES POUR ATTAQUER LES « AMIS ».
PAR QUI ?
On m’a donné un nom que je ne répéterai pas, car les témoins ont peur d’apparaître.
Vous n’avez pas une petite idée sur l’identité d’un salopard capable d’utiliser de telles méthodes ?
Oui, c’est bien lui, mais, faute de preuves, on ne pourra rien contre lui.
En revanche, je vais donner la marche à suivre aux fonctionnaires locaux : Il faut commencer par aller interroger, après les avoir mis en garde à vue, les vigiles et autres sbires qui gravitent autour de la Corniche et on apprendra ainsi qui les paie.
Surtout (et j’ai conservé le meilleur pour la fin), JE POSSÈDE LES MOYENS D’IDENTIFIER LE MENEUR A LA LACRYMOGÈNE. 10
JE ME TIENS A LA DISPOSITION DE LA POLICE ET DE LA JUSTICE.
Si nos affaires n’avancent pas.
Si nos plaintes n’aboutissent pas,
Il faut tout simplement saisir le Procureur de la République.
Je serais d’autre part partisan de saisir l’IGPN.
Enfin, Last but not least (JC : dico), il faut alerter la presse, les nombreux journalistes qui sont déjà venus sur place et la presse nationale qui s’intéresse visiblement à notre cas.
Vous verrez qu’alors, les choses iront beaucoup plus vite. 11
Salut à tous.
François Le Cornec
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Commentaires de Maurice avec l’approbation de François
VERNISSAGE le Mardi 15 Janvier 2019 de 18h00 à 21h00
Exposition du mercredi 16 janvier au samedi 23 février 2019
Galerie ouverte du mardi au samedi de 13H30 à 18H30
58, rue Quincampoix 75004 Paris
Tél : + 33 (0)1 42 74 26 36
Concours
SOPHOT
9ème édition
Le site SOPHOT.com
dédié à la photographie sociale et environnementale
organisera une exposition avec
les deux reportageslauréats
Lieux d’exposition Galerie FAIT & CAUSE
58 rue Quincampoix - 75004 Paris - France du mardi 14 mai au samedi 13 juillet 2019
Conditions de participation
● Etre inscrit sur le site, avoir mis à jour sa Fiche personnelle et y avoir enregistré le
reportage présenté. Inscription gratuite.
● Le travail soumis par le photographe devra :
- porter sur un problème social ou environnemental.
- avoir été achevé en 2017 ou 2018. Chaque photographe présentera un seul
reportage.
● Dossier de candidature. Chaque dossier soumis à la sélection devra comporter :
- Une biographie sommaire du photographe.
- Un synopsis : intentions, sujet, problématique et partenaires éventuels… (1 page)
- 30 à 50 photographies au format papier A5 minimum, A4 ou plus.
(tirages de lecture, ou impressions laser de très bonne qualité.)
Chaque photographie devra être numérotée et légendée. - Une clef ou un CD avec ces mêmes données. Textes et légendes (accompagnées des
vignettes photos correspondantes) en format Word ; photos en format jpeg, 72dpi
1920 pixels sur le plus grand côté.
- Le photographe indiquera s’il est d’ores et déjà prévu que son reportage fasse
l’objet d’une exposition ou d’une publication en 2019.
Les dossiers sont à déposer ou à envoyer à :
Association Pour Que l'Esprit Vive - SOPHOT.com, 69 boulevard de Magenta, 75010 Paris, France - jusqu’au vendredi 1er février2019 - Dernier délai -
L’annonce de la sélection aura lieu dans la 2ème semaine du mois de mars 2019.
À partir de cette date, les dossiers qui n’ont pas été sélectionnés pourront être récupérés
en prenant rendez-vous par téléphone : 01 81 80 03 66 / 63.
(Si vous habitez en province, veuillez joindre une enveloppe timbrée pour le retour, svp).
La production et le montage de l'exposition seront assurés par le site SOPHOT.com
Dès la fin de l’exposition, les tirages exposés seront restitués aux deux lauréats.
Il paraît que la maire Valls présentera les siens le 29 janvier.
Quelque chose me dit que je ne serai pas invité, et je le déplore car j’adore ses discours qui m’ont toujours fait rire...
A propos de vœux, j’ai remarqué qu’elle n’assistait pas, hier, à ceux du maire des Lilas.
N’avait-elle pas été invitée (les personnalités étaient nombreuses, dont son idole Bartolone, dont on aura décidément du mal à se débarrasser définitivement, ce qu’il est pourtant urgent de faire car s’il fréquente ce genre de trucs, c’est pour faire prospérer sa nouvelle boîte de lobbying) ou bien a t’elle voulu manifester son mécontentement après que , comme son collègue de Pantin, Daniel Guiraud ait fait savoir publiquement qu’il désapprouvait le stupide projet de déforestation (pour « épargner la couche d’ozone et lutter contre le réchauffement climatique, dit cette sotte) qu’elle est en train de mener à bien ou plutôt à mal ?
Quoi qu’il en soit, puisque je n’aurai pas la chance de rencontrer la maire et de lui présenter mes vœux ... de dégagisme, je vais joindre au présent propos copie de deux lettres recommandées que j’ai adressées, hier, l’une à la Chambre des Comptes d’Île de France, et sa copie à la juge d’instruction qui s’occupe de la plainte que j’ai déposée il y a un an et demi.
Je pense que mes vœux iront droit au cœur de la maire et de son thuriféraire.
Par courrier ( CPC 0/17/73) du 24 juillet 2017, le cabinet du Doyen du juge d’instruction du TGI de Bobigny m’a informé que suite à une plainte avec constitution de partie civile, vous aviez, le 21 juillet 2017, été saisie de la procédure (numéro d’instruction 13/17/26).
Aucune suite n’ayant pour l’heure été donnée à l’affaire et la mairie n’ayant corrigé aucune des irrégularités signalées par la chambre des comptes d’Ile de France et ayant au contraire poursuivi ses pratiques problématiques , j’informe ce jour la chambre des comptes d’Ile de France de cette situation.
J’estime qu’il est normal de vous tenir au courant de ces derniers faits.
C’est pourquoi je vous rends, par la présente, destinataire de la copie du courrier adressé à la Chambre.
Vous en souhaitant bonne réception, je vous prie d’agréer, Madame la juge d’instruction, l’expression de mes sentiments distingués.
Le 322 qui était indiqué comme dévié depuis le carrefour Berlioz ne l’est pas, il continuera de circuler comme d’habitude malgré la déviation de la circulation entre le carrefour rue Jean Jaurès et boulevard Barbusse.
Il y a quelques jours, le site de la ville indiquait que la circulation du bus 322 allait être déviée, il n’en est rien, d’où vient cette fausse information qui est parue sur le site de la ville ?