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Romainville. Le doigt là où ça fait mal ! Très MAL !!
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Que s'est-il passé, que se passe-t-il dans le quartier des grands champs, et à Romainville ?
Ne rien publier de ce blogue sans en avoir eu l’autorisation .
Pas de commentaires anonymes !
Depuis la fin.des vacances, des cyclistes et des utilisateurs de 2 roues motorisée ont pris la mauvaise habitude de passer sur les trottoirs de la rue Irène Joliot-Curie et pas au ralenti !
Tout ça pour ne pas attendre derrière les autres véhicules ! Cela arrivait avant les vacances mais pas de cette manière, ils roulaient doucement et pouvait s'arrêter presque immédiatement, tandis que là... Non seulement c'est interdit, mais très dangereux pour les personnes qui sortent de la propriété, en 2 semaines il y a eu deux accidents qui ont faillit avoir lieu, ce n'est qu'à la réactivité de la personne sortant que le choc n'a pas eu lieux, le conducteur nne semble même pas s'être rendu compte qu'il venait de risquer de percuter une personne.
La solution serait-elle de poser des potelets comme il y en a dans les sentes pour empêcher les 2 roues d'y passer ou dû moins de les ralentir ? Nos élus ferait bien de réfléchir au problème avant qu'un accident plus ou moins important ne se produise, ne doutons pas que si cela se produit, nos élus diront qu'il faut respecter le code de la route et que des potelets ne sont pas la solution, la police municipale est la pour faire respecter ... blablabla faut-il attendre un accident ?
La tour agricole devrait produire 12 tonnes « par an » de produits sur une surface cultivable de 1 000 m² soit 12 kg par m² et par an soit 1 kg par m² par mois, quel rendement ! (en baisse par rapport aux précédentes présentations qui prévoyaient 16 kg)
12 kg de rendement, disons que le prix moyen des légumes sur une année soit de 5€, ce qui fait beaucoup, ça fait du 60 € de rendement par m², multiplié par 1 000 = 60 000 € de rentré «par an » ... brut car à ça il faut retirer les frais de production direct et indirect
Il n’y a pas de quoi faire fonctionner un tel bâtiment avec un revenu pareil, si vous enlevez le coût des salaires, de l’eau, de l’électricité, des impôts, etc... Vous êtes déficitaire. Heureusement que le compost devrait être produit sur place et pour 1 000 m², il en faut du compost et engrais ! Ah, j’oubliai qu'il allait y avoir un restaurant donc de petites rentrées d’argent.
Soit je ne sais pas compter et ne comprend rien de ce que je lis, soit les chiffres sont faux, soit on essaie de nos faire avaler des couleuvres en nous prenant pour des neuneus !
Et l’amortissement de la construction n’est pas compté, 5 m€ « estimé », ce qui ce comprend par : ça dépassera certainement. Comment peut-on faire construire des serres sans savoir combien elles vont coûter ? N’y a-t-il pas eu de devis de fait et validé ? Souhaitons que l’entreprise, ou les, n’en profite pas ... trop. (il est vrai qu’environ la moitié est subventionné, pour certains juste pour pouvoir dire j’y ai mis des billes tant leur participation est faible !)
L’arrosage avec de l’eau de pluie est un leurre, il ne pleut pas assez pour que ses bâtisses puisse recueillir assez d’eau pour irriguer 1 000 m² ! Tous ceux qui recueillent l’eau de pluie le constate, et là, la surface des toitures ne pourra pas recueillir assez d’eau pour arroser les cultures surtout avec la surface des verrières ; en Seine Saint Denis il est tombé l’année dernière (2017) : 598 mm de pluie, arrondissons à 600 mm ou 60 cm par m², je ne connais pas la surface des toitures donc pas de calcul de récupération.
L’éclairage par verrière ?
Voyez comment les bâtiments sont accolés, comment les cultures qui seront vers l’autre bâtisse recevront assez de luminosité pour pousser ? Par un jeux de miroir ?
Et les salaires ? Qui les paiera ?
Ce n’est pas le rendement financier des cultures qui pourra y subvenir, alors, qui va payer les salaires ?
Sera-ce les revenus généré par la vente de la production qui y pourvoira ? Parait-il que Baluchon achètera tout où partie de la production, il ne le fera certainement pas au prix de vente aux particulier, particulier qui devrait pouvoir acheter le surplus.
Comme le dirait le p'tit manu, ça va nous coûter un pognon de dingue !
En réfléchissant un tant soit peu, nous constatons que le fonctionnement des tours ne pourront pas se faire sans subventions !
Sera-ce comme pour le ramassage par pneumatique pris en charge par Est-Ensemble ?
Les autres municipalités se laisseront-elles influencer comme pour le ramassage après un caca nerveux de nos deux duettistes ?
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En ce moment, nous consommons 4,5 kg de légumes par semaine soit 18 kg par mois environ, pour deux personnes. (relevé sur un ticket de caisse)
Évidemment, tout le monde ne cuisine pas ses repas, pour certains c’est encore « William Saurin cuisine pour vous » ; ne pensez pas que cela fait beaucoup, c’est environ 300 gr par repas et par personne, entrée et plat principale.
Faites un calcul très simple en ce basant sur la production prévue :
12 tonnes = 12 000 kg
12 000 / 52 (semaine dans une année) = 230 kg/semaine
230 / 200 (les fameuses 200 familles, pas celles d’avant guerre) = 1,15 kg par familles et par semaine, mettez ça par jour = 0,165 kg, si l'idée vous prend de mettre ça par repas puis par personne ... la famille a intérêt à ne pas manger beaucoup et à ne pas être nombreuse !
Vous pouvez faire le calcul autrement cela revient au même !
On est loin des 200 familles que pourraient nourrir la production des tours agricole de not’bon maire, sans compter la production qui ira à Baluchon ! (il n’est plus question que Baluchon soit le principale destinataire de la production et le surplus aller aux habitants pour, a dit not’bon maire, que les habitants puissent manger des produits de bonnes qualités ; merci pour les commerçants)
Et tout ça à condition que la production soit constante sur l’année !
Quand à l’innovation pour ce qui concerne la culture en bac ... cela ce fait depuis des centaines d'années que cela se pratique, pas dans un bâtiment comme ici, mais même chez les jardiniers amateurs qui pour certains font des cultures abrités, des ampoules sont en vente pour ça.
Installer des écrans thermique est une idée comme une autre, souhaitons qu’ils soient plus performant que ceux posé à l’institut du monde arabe, qui sont tombé en panne peu de mois après leur mise en fonction et le sont resté.
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(copie d’un passage sur le site de la ville)
-- une surface d'exploitation de 1000 m² et ainsi produire chaque année 12 tonnes de fruits, légumes, champignons, fleurs comestibles, plants, semences… soit la consommation annuelle de 200 familles. --
« Le Parisien » nous informe enfin de la pose des étais aux écoles Paul vaillant Couturier, mais 3 semaines après leur pose !
Nous avons connu plus rapide pour nous informer de sa part lorsque c’est pour beurrer la tartine de not’bon maire. (la journaliste a prit des renseignements auprès d’habitants et d’élus la semaine suivant la pose)
Et l’article n’est pas correct envers le parent d’élève qui a alerté les services municipaux, en 2016, puisque l’article nous dit que c’est « le rapport d’un bureau de contrôle » qui, au début, a pensé que c'était d’ordre esthétique. (actuellement nous pouvons voir des traces de rouille du ferraillage, cela veut dire que les fissures sont profondes ou, que le ferraillage ne ‘est pas comme il le faudrait !)
Maintenant la radiographie montre que le problème est plus important que visible et qu'une expertise dans le cadre de la garantie décennale va être réalisé nous dit l’article ; mais ont s’en moque complètement du cadre de la garantie décennale, « ce qui compte avant tout » c’est la sécurité des élèves et de leurs parents lorsqu'ils les accompagnent.
3 ans ! Il a fallut attendre 3 ans pour que le problème soit pris en compte sérieusement ! Nous avons vu plus rapide.
Sofia réclame de la transparence sur le dossier, les élus d’opposition ne serait pas informé de la manière dont le problème est traité ?
Vous l’avez probablement constaté comme moi, ce mensuel qui se donne pour but de nous informer des nouveautés et résume les activités de notre environnement romainvillois, comporte toujours un chapitre cherchant à valoriser les actions et orientations de nos élus majoritaires.
Personnellement, je trouve que ce chapitre (bel exercice d’acrobatie), reste au cours du temps constant dans sa médiocrité.
Dans le dernier Mag, il est question de la nouvelle version du PLU qui prendra en compte ‘’les éléments patrimoniaux, tant bâtis que naturels’’. Voilà un sujet intéressant ! Cependant le rédacteur s’embrouille dans un certain nombre d’incohérences et comme à l’habitude nous abreuve d’informations tronquées.
Il est écrit : ‘’Le PLU patrimonial apporte une réponse aux mutations en cours ou à venir.’’ Ceci ne vous interpelle pas ? J’en conclus que ce dernier pourrait remettre en cause les opérations actuellement en cours et faire renaître le patrimoine qui a disparu. C’est totalement aberrant. Ce qui est fait est fait, ce qui est en cours ne peut en aucune manière être remis en cause. (Les permis sont accordés, ça roule !)
Arrive une question de portée générale : ‘’ Certains propriétaires se demandent pourquoi le PLU Patrimonial n’arrive que maintenant (Selon moi, il n’est pas nécessaire d’être propriétaire pour se poser cette question.) Nouvel étonnement ! La suite du texte devant répondre à cette question n’a aucun rapport avec le sujet, elle reprend, en vrac les slogans bateau utilisés à maintes occasions: La mixité sociale, le renouveau des commerces de qualité (pour la nouvelle tranche de Romainvillois qui dispose de moyens, ceux du haut de l’échelle de la mixité). Une brillante démarche : Dissuader des promoteurs malintentionnés (les favoris que l’on retrouve très souvent doivent probablement être irréprochables, dans tous les cas ils sont sûrement bien intentionnés)
A la suite, il y a lieu de raisonner les éternels râleurs qui deviennent de plus en plus nombreux, ‘’Ceux qui ne font que constater le bétonnage de la ville. Ceux–ci méconnaissent la réalité. Nous avons traité 60% des 400 logements insalubres recensés en quinze ans.’’ Bravo ! Mais où est le rapport avec le bétonnage ? De plus l’utilisation du NOUS n’est-il pas usurpé ? Il pourrait laisser entendre que c’est la ville qui a mis la main à la poche. N’aurait-il pas été honnête de faire mention de l’origine des aides ?
Il nous est promis de durcir les règles du droit à construire par une augmentation de la pleine terre, mais seulement à l’occasion de l’élaboration du PLU intercommunal. C’est bien tardif toutes les grosses opérations sont lancées, alors qu’il nous est précisé que :’’ La relance du développement urbain de la commune a commencé en 2000’’. Suit un couplet pour les enfants, où Il est expliqué que : ‘’ En agrandissant le périmètre de terres autour d’une construction, cela augmente les espaces verts’’
Quant à La conclusion : ‘’Construire du logement n’empêche pas de penser aux espaces verts et de préserver le bâti ancien face aux spéculateurs’’, elle est pour le moins démagogique, car si de rares exemples vont effectivement dans ce sens, il a été constaté que dans la plupart des opérations récentes, voulues et accompagnées par la Municipalité, le patrimoine ancien bâti et espaces verts, n’a pas fait long feu face aux spéculateurs. Le recensement des biens à caractère patrimonial disparus réalisé par ASVR, le confirme.
Il est probable que c’est une première pour moi. Me voilà en accord avec un article de la rubrique Expressions du mag’ de septembre signé J. Champion. Cet article concerne l’Île de loisirs de la corniche des forts. J’ajoute également que celui du groupe EELV, qui va dans le même sens, ne me choque pas. Bien sûr, l’aspect démagogique de ces propos ne m’échappe pas. La commune était la première à valoriser le projet, à l’époque où il était question de créer la douzième base de loisirs de la région Parisienne. Ce projet entraînait le chamboulement total de la zone des anciennes carrières. (Souvenez-vous de la belle maquette présentée au public, restée assez longtemps dans le hall de la Mairie). Ce mirobolant projet a fait le bonheur des promoteurs immobiliers qui ne manquaient pas de le faire figurer sur leurs belles plaquettes en papier glacé.
Revenons à la genèse de ce projet. Les premières études remontent à l’année 2001. Puis il a été présenté au public (précisément quand, je ne saurais le dire) sous la forme évoquée ci-dessus. Je conviens qu’il m’est apparu stupide et ne correspondant en aucune manière aux attentes des Romainvillois et des Franciliens dans leur ensemble. A ma connaissance, il n’a pas suscité, même de la part des ‘’verts’’, de nombreuses et virulentes réactions négatives. 1
En 2009, une campagne de sondages du secteur a débuté. Je suis persuadé que ce sont les résultats constatés qui ont fait évoluer le projet. Le sujet avait été pris à l’envers, la chose a été présentée bien avant de savoir ce qu’elle pourrait coûter.
En 2015 est apparu sur le site, un volumineux tas de sable. Sa présence ne pouvait que servir le projet : Remblayer partiellement les carrières. A cette occasion, je n’ai pas non plus constaté que les opposants se réveillaient. 2
A ce jour, le projet est enfin figé (dix-sept années se seront écoulées). Il est donc question d’aménager huit hectares, en réalité cinq (accessibles au public) devraient être déboisés (pour partie, le terme débroussaillés conviendrait mieux). L’emprise du tas de sable a déjà subi cette sanction. Pour moi quid de cette manœuvre : Des arbres vont être abattus (combien méritent la qualification patrimoniale, je n’en sais rien, probablement pas un très grand nombre). Le défrichage va déplacer les populations animales du secteur dans ce qui restera de la forêt vierge (85% de la surface actuelle). Ce pourcentage constaté par EELV m’est apparu très élevé, après contrôle, il n’est pas très loin de la réalité, la surface concernée hors tas de sable représente 4.5 hectares sur environ 27 soit 17%.
Où est le drame ? Il est possible de reprocher bien des choses à notre municipalité, mais pas celle de ne pas se soucier de nouvelles plantations d’arbres. A ce jour la balance entre les arbres qui ont disparu et ceux qui ont été plantés, penchent assurément du bon côté (même si on peut sincèrement regretter, par exemple, la disparition d’un beau spécimen comme celui de la cité De Gaulle) 3
Pour moi, la solution actuellement retenue pour l’aménagement de la corniche des forts est un bon compromis. Il redonne de l’espace vert accessible aux Romainvillois et préserve une surface vierge non négligeable. Il nous est répété que pour être en bonne santé, il faut bouger, il faut marcher, alors donnons de l’espace aux citoyens tout en préservant faune et flore.
Pour ceux qui combattent ce projet, il me semble qu’ils devraient prendre la mesure de ce dernier. Certes l’équilibre de notre planète est menacé, en cause pour partie la déforestation, mais à Romainville de quoi parle-t-on ? De : 5 hectares. La ville de Paris dispose de : 1841 hectares de forêts et 553 de parcs, jardins, squares et promenades arborés.
Comme un grand nombre, je considère que d’avancer dans le domaine de l’écologie est absolument indispensable, mais ne tombons pas dans l’excès. Sur ce sujet, il y a lieu d’avancer dans de multiples directions avec un minimum de discernement.
François ANDRÉ Septembre 2018
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Commentaires de Maurice avec l’approbation de François
1) vous vous trompez, dès le début il y a eu des habitants qui ont manifesté leur désapprobations sur le devenir de la corniche des forts !
2) là aussi nous nous sommes inquiété : à quoi va servir « le tas de sable »
3) allez comptez le nombre d’arbres qu’il y a avenue Rosenfeld et comparez-le au nombre qu’il y avait avant la réfection de l’avenue, dans le square Barbusse des arbres sont coupés de temps en temps et non remplacés !
Il faut remarquez que la municipalité à offert à des promoteurs la possibilité d’acheter des pavillons avec terrains pour qu'ils bétonnent ! Les espaces vert municipale sont laissé à l’abandon !
Ça y est, la première pierre pour la construction de la danseuse de not’bon maire (la tour agricole) a été posée hier vendredi 14 septembre.
Une construction à 5 m€ pour faire pousser des fruits et légumes « de meilleurs qualité que ce qui est actuellement vendu » c’est ce qu’en résumé disait not’bon maire lorsqu’elle faisait des pieds et des mains pour trouver des fonds afin de faire construire sa danseuse ; c’est sympa pour les commerçants qui sont et viennent à Romainville !
Ce ne sont pas les Romainvillois qui vont cracher au bassinet pour la totalité du coût de cette merveille, du moins pas directement car not’bon maire a réussi à embobiner des institutions et autres donateurs pour que la moitié ne reste à la charge de la municipalité, en repartissant le coût sur plus d’administrés ne fait pas baisser le coût mais répartie sur plus de morlingues, rien de plus !
Lorsqu'un maire a des envies de grandeur en voulant faire construire des bâtiments engagent les finances de la municipalité, soit nous les contribuables, un référendum devrait être organisé obligatoirement et pas à la majorité simple pour la validation, mais au deux tiers des votants pour que ce ne soit pas contestable avec suivie de l’évolution des votes sur le net et l’engagement que le résultat ne fasse pas comme le sondage fait par la girouette municipale pour la corniche des forts !
Le journal « Le Parisien » a relaté la pose de la première pierre et pour une des rares fois que cela arrive, l’article ne beurre pas la tartine de la municipalité ! Il y a des ravis de la classe qui voient tout en rose, mais, il y a aussi des personnes disent « je n’y mettrait pas les pieds, la production ne sera-t-elle pas fade au goût, il manque des structures de services public (peut-être est-ce des espaces vert car il y a de nombreux services public à Romainville), à quel prix va être vendu cette production (le sera-t-elle à un prix calculé comme le fait un agriculteur prix de revient tout compris plus au besoin petit bénéfice pour renouveler le matériel courant ou avec subvention pour faire tourner la boutique), etc. ?
C’est si rare de lire des avis contradictoires dans ce journal qu'il serait déloyale de ne pas le signaler ! Souhaitons que cela continue car nous attendons toujours un article sur les piliers qui ont été posés pour soutenir la casquette des écoles avenue Paul vaillant Couturier (parait-il pour 6 mois) mais la consolidation de cette casquette sera-t-elle faite dans 6 mois car « il parait » que ça a été prolongé d’autant de mois ? (voir l’article à ce sujet et les commentaires avec photos sur Facebook)
N’y a-t-il pas d’autres problèmes similaire qui ne sont pas visible de l'extérieur ? La consolidation sera-t-elle pérenne ?
Les autres bâtiments comme celui à l’angle de l’avenue de Verdun et abbé Houël ont-ils des ennuis réparables c’est à dire de façon à ne pas devoir y revenir dans les 3 ou 4 années à venir ? (lisez les derniers propos du père François, il en parle ainsi que d’autres bâtiments récent où des copropriétaires se sont mis en association pour des explications)
Le prix de vente des biens communaux est-il correct ?
Le père François a mis en ligne sur Facebook un papier ou il est écrit que le prix de vente des biens communaux par la municipalité est correct car conforme aux estimations fiscales ou aux prix des domaines. (papier signé par n’ot champion Romainvillois)
C’est oublier, plus ou moins volontairement, que le prix des domaines n’est pas un prix auquel les biens doivent être indemnisés mais le prix minimum auquel ils doivent l’être et les estimations fiscales ne sont pas une moyennes des prix de vente des biens mais comme son nom l’indique : une estimation fiscale pour imposer le bien et l’estimation fiscale n’a pas été réévalué depuis des dizaines d'années !
Ce qui fait que vendre en ce basant sur le prix des domaines et de l’estimation fiscale, cela ressemble à faire de beaux cadeaux à des promoteurs !
Mais les cadeaux aux promoteurs, nous le soupçonnons depuis longtemps ! (regarder radio immo sur le net pour avoir une idée de l’entente entre des élus et les promoteurs)