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Romainville. Le doigt là où ça fait mal ! Très MAL !!
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Que s'est-il passé, que se passe-t-il dans le quartier des grands champs, et à Romainville ?
Ne rien publier de ce blogue sans en avoir eu l’autorisation .
Pas de commentaires anonymes !
Je suis ravie de vous convier, samedi 10 février à 15h, au prochain Café-Philo qui portera sur la question suivante : "Comment s'aimer soi-même ?: un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ?". Comme à notre habitude, nous explorerons cette problématique grâce à une discussion conviviale, et à la découverte de la pensée d'un philosophie : en l'occurrence, Rousseau !
Rendez-vous à la Maison de la Philo (2ème étage de la Médiathèque, Rue Albert-Giry, 93230 Romainville) ! Demeurant disponible pour toute question ou renseignement supplémentaire.
de la date de réception des dossiers de candidature
Concours
SOPHOT.com
8ème édition
Le site SOPHOT.com
dédié à la photographie sociale et environnementale
organisera une exposition avec
les deux reportageslauréats
Lieux d’exposition Galerie FAIT & CAUSE
58 rue Quincampoix - 75004 Paris - France du mardi 15 mai au vendredi 13 juillet 2018
Conditions de participation
● Etre inscrit sur le site, avoir mis à jour sa Fiche personnelle et y avoir enregistré le
reportage présenté. Inscription gratuite.
● Le travail soumis par le photographe devra :
- porter sur un problème social ou environnemental. - avoir été achevé en 2016 ou 2017. Chaque photographe présentera un seul
reportage.
● Dossier de candidature. Chaque dossier soumis à la sélection devra comporter : - Une biographie sommaire du photographe. - Un synopsis : intentions, sujet, problématique et partenaires éventuels… (1 page) - 30 à 50 photographies au format papier A5 minimum, A4 ou plus.
(tirages de lecture, ou impressions laser de très bonne qualité.) Chaque photographie devra être numérotée et légendée. - Une clef ou un CD avec ces mêmes données. Textes et légendes (accompagnées
des vignettes photos correspondantes) en format Word ; photos en format jpeg,
72dpi 1920 pixels sur le plus grand côté.
- Le photographe indiquera s’il est d’ores et déjà prévu que ce reportage fasse
l’objet d’une exposition ou d’une publication en 2018.
Les dossiers sont à déposer ou à envoyer à : Association Pour Que l'Esprit Vive - SOPHOT.com, 69 boulevard de Magenta, 75010 Paris, France - jusqu’au vendredi 16 février 2018 - Dernier délai -
L’annonce de la sélection aura lieu dans la 2ème quinzaine du mois de mars 2018.
À partir de cette date, les dossiers qui n’ont pas été sélectionnés pourront être récupérés
en prenant rendez-vous par téléphone : 01 81 80 03 66 / 63.
(Si vous habitez en province, joingnez une enveloppe timbrée pour le retour, svp).
La production et le montage de l'exposition seront assurés par le site SOPHOT.com
Dès la fin de l’exposition, les tirages exposés seront restitués aux deux lauréats.
Les caisses de la villes sont vides mais ça ne fait rien, la municipalité continue de faire des dettes !
Le palais des fêtes à 5 m€
La tour agricoles qui voit son coût s’envoler vers les 5 m€ (4,6 en février 2016, vont-elles être encore réévaluer ?)
La réfections des équipements sportifs !
N’oublions pas non plus ce que le père François nous rappel souvent :
UN TROU DE 9 MILLIONS D’EUROS DANS LE CONTRAT DE LA PLACE DU MARCHE, UN CADEAU DE 1, 2 MILLIONS D’EUROS AU PROMOTEUR FIMINCO, 5 VENTES DE BIENS PUBLICS AU DESSOUS DU PRIX DES DOMAINES SANS LES JUSTIFICATIONS QU’EXIGE LA LOI, etc.
Jusqu’où va aller la municipalité dans la souscription de dettes ?
Même s’il y a des aides, qui dit aides de la part de la région, communauté d’agglomération ou tout autres c’est répartir les dettes sur plus d’habitants et rien d’autre, il faudra rembourser les dettes !
Une ville de 26 000 habitants peut-elle se permette d’avoir autant de dettes ?
Appeler « agriculture urbaine » des cultures faites dans une tour, soit sur plusieurs étages ... il faut avoir une sacré dose comme bourreur de crâne pour faire avaler ça ! Le plus triste, c’est qu’il y en a qui semble y croire, sens ça il n’y aurait pas de subventions ; ou alors les raisons de ses aides sont autres que l’approbation de ce mode de production maraîchère.
La production a été réévalué à la baisse : de 16 tonnes, elle est passé à 12 : 4 tonnes viennent de passer à la trappe.
not’bon maire ne déclarait-elle pas dans - Revue de Droit Rural - :
La production s’élèverait au départ à 16 tonnes de fruits et légumes minimum par an ...
Après avoir vendu le moindre terrain ou pavillon que la municipalité a préempté pour les vendre à des promoteurs pour qu’il y élèvent du béton, not’bon maire redécouvre les joie de l’agriculture, car Romainville a une histoire maraîchère qu’il faut préserver nous dit-elle, et pour satisfaire sa nouvelle lubie, elle fait construire « une tour agricole », ça c’est de la culture maraîchère ! Ne parlons pas du prix de revient des cultures, lorsque l’on aime on ne compte pas ... surtout lorsque l’on fait payer les cultures par les autres.
Si les produits vendus le sont sans perte et vu que d’après certains, qui EUX savent, ce genre de cultures revient au double (au moins) que la culture traditionnelle (pour l’instant mettons de coté la chaleur dégagée par l’éclairage ce qui demandera une aération performante).
Plusieurs spécialistes ont déclarés que de telles cultures ne pouvaient pas être rentables, ce qui veut dire qu’il faudra subventionner le fonctionnement de cette tour agricole pour le cas où les ventes ne couvre pas les frais, tous les frais. not’bon maire et ses sbires feront-ils ce qu’ils ont fait lors d’une réunion à Est-Ensemble pour le ramassage par pneumatique en piquant une crise en sortant à plusieurs reprises de la salle de réunion lorsque les autres élus refusaient de couvrir les frais ; les écoles vont être invités à aller « visiter la merveille ».
not’bon maire est devenue une spécialiste des coups de pub en saupoudrant sur le territoire qu’elle administre des coups d’éclats sans suite puisque la commune ne permet pas de faire plus, le ramassage par pneumatique peut avoir un avenir mais dans une ville nouvelle, et encore, il faut tenir compte des problèmes de déplacements de chacun, une tour agricole sans rien d’autre qui l’accompagne c’est s’offrir un p'tit plaisir comme le faisait les vieux croûtons dans les claques.
Ces serres géantes pourraient-elles être viables économiquement ?
Vous pourrez y lire :
Par exemple, les légumes produits par Sky Greens, à Singapour, sont deux fois plus chers que ceux importés dans l’île, et de 5 à 10 % plus onéreux que ceux cultivés dans les champs. (extrait)
ainsi que le suivant :
A terme, seraient-elles complètement écologiques ?
Vous y lirez que « ça peut l’être » à condition d'être intégré dans un ensemble de constructions, ce qui ne sera pas le cas pour celle qui va être construite à Romainville, on ne peut pas faire un peu par-ci par-là et sautiller comme un cabri en disant : je fais, je fais ...
« Champion est passé là ; tout est ruines et deuil
Romainville-city n’est plus qu’un sombre écueil. »
Je suis passé hier après-midi avenue du Président Wilson.
La porte de « la ferme » était ouverte, et j’ai pu prendre 2 ou 3 photos que j’ai publiées sur facebook.
J’aimerais qu’elles aient une plus large diffusion mais je ne sais pas faire.
Je compte sur vous...
Elles montreront à nos concitoyens ce qui se cache derrière les mots de « patrimoine » et de « PLU drastique ».
Ils comprendront que cette municipalité se fout d’eux.
Le pire, c’est qu’elle n’en est peut-être pas consciente.
Quand je faisais observer à JC l’autre jour que notre nouveau centre ville est une pure et simple horreur, qui hésite entre le scandaleux et le ridicule (je sais que plusieurs membres de la majorité partagent mon avis, mais qu’ils n’osent rien dire « puisqu’ils sont minoritaires »), il paraissait presque sincère en rétorquant que beaucoup d’habitants avaient un avis contraire au mien.
Je vous ai déjà expliqué que ces pauvres gens ont été chassés de Paris par les prix prohibitifs, et qu’ils ne sont pas trop difficiles pourvu qu’ils paient moins cher que là et dans l’ouest parisien.
Ils ne tarderont pas à comprendre dans quel guêpier ils se sont fourrés.
Certains l’ont déjà fait...
Voyez-vous, le vrai problème, ce sont les pouvoirs excessifs qu’on donne aux maires et à leurs laquais.
A cet égard, avec le duo, nous sommes servis.
Peut-on imaginer pire ?
Ils sont aussi incompétents qu’autoritaires, ennemis de toute réelle concertation.
Regardez le champ de ruines qui nous entoure.
Quand ce sera fait, contemplez ce qui a été construit.
C’est effarant.
Pas le moindre sens de l’esthétique urbaine.
Pas de mise au point d’un plan de circulation.
Certes, Romainville avait besoin d’être rénovée...mais surtout pas comme ça.
Les bâtiments nouveaux qui jonchent notre territoire semblent des dés lancés au hasard par un géant fou.
Il ne suffit pas d’aller parader auprès de ténors de l’architecture.
C’est au pied du mur qu’on reconnaît le maçon.
Et là, nous ne sommes pas déçus.
Ça continue avec Panotel, la Ferme, partout.
On va recouvrir la A3 d’immondices.
Ce qui sauve tout, c’est que ça va s’appeler Simone Veil (referendum « massif » : 70 voix pour Veil, 40 pour Beauvoir sur 25 000 habitants ; décidément, on aime bien les « simone » chez nous puisqu’on en trouve même au Conservatoire).
Comme doit dire JC à CV : « en voiture, Simone, c’est moi qui conduis ».
Continuons notre promenade.
Dans la même avenue Wilson, on retrouve l’affreux bâtis que la maire Valls inaugurait en gloussant avec ses « amis » de Radio Immo, oubliant opportunément la petite vieille (morte depuis) dont les dernières années avaient été pourries par le mastodonte qui dévorait sa maison.
De l’autre côté de la A3, avenue Branly, on découvre, à côté de la grande surface portugaise (décidément, on parle beaucoup des portugais chez nous, par exemple de leur banque qui joue un rôle important dans l’immobilier ; j’y reviendrai), le trou béant qui a occasionné la ruine des propriétés voisines.
Heureusement pour ces derniers, mes copains étaient là pour les aider à préserver leurs droits ...
Je pourrais trouver bien d’autres exemples.
Je pourrais rappeler Wipelec, les terrains voisins empoisonnés, les voisins abandonnés à leur triste sort.
Heureusement, pendant ce temps-là, il y a les banquets du 3ème âge (ils votent, dans leur grande majorité pour CV), les thés dansants et autres guignolades.
Combien de temps cela durera t’il encore ?
Quand aurons-nous, à la tête de cette commune des gens compétents (en urbanisme, notamment), des gens qui, sans démagogie, sauront manifester un peu d’empathie à l’égard de leur prochain défavorisé ?
Il ne faut « rien lâcher ».
Salut à tous
François Le Cornec
PS : N’oublions pas LE TROU DE 9 MILLIONS D EUROS (SEMPRO), CELUI DE 1,2 (FIMINCO ), LES 5 VENTES ILLEGALES EN DESSOUS DU PRIX DES DOMAINES ET LES CONTRATS SANS APPEL D’OFFRES.
J’AI DESIGNE UN AVOCAT QUI DEMANDERA COMMUNICATION DU DOSSIER, car il est hors de question que de tels faits demeurent impunis, ou tout du moins sans explication.
Voilà que je m’aperçois que, dans mon dernier propos, j’ai oublié de vous rappeler que, dans son rapport sur la gestion de la Ville de Romainville de 2009 à 2014, la Chambre des Comptes d’Île de France a relevé bon nombre d’irrégularités, voire d’illégalités dont les principales sont UN TROU DE 9 MILLIONS D EUROS DANS LE CONTRAT DE LA PLACE DU MARCHE, UN CADEAU DE 1, 2 MILLIONS D EUROS AU PROMOTEUR FIMINCO, 5 VENTES DE BIENS PUBLICS AU DESSOUS DU PRIX DES DOMAINES SANS LES JUSTIFICATIONS QU ‘EXIGE LA LOI etc.
Voilà qui est fait.
Si d’aucuns pensent que je radote, je leur expliquerai que, si je le fais, c’est parce que la municipalité ne s’est toujours pas décidée à régulariser sa situation, ni devant la justice, ni devant les citoyens.
Je ne lâcherai pas le morceau et je puis ajouter que je suis scandalisé que, parmi la majorité municipale, il n’y ait personne pour demander des comptes sur ces graves questions. 1
C’est ça, Stéphane, « faire de la politique autrement » ?
Tu as appris vite.
Cessons de rabâcher et passons à un autre sujet.
Avez-vous déjà entendu parler de Véronique Bartolone ?
C’est l’ancienne secrétaire de l‘ancien Président du Conseil Général du 93.
Il l’avait recrutée AVANT de l’épouser, mariage qui fut conclu sans que a priori, il y ait eu harcèlement sexuel.
Ça tombe bien, car, si c’eût été APRES, on aurait pu parler de favoritisme ou de népotisme de la part de celui que Dominique Voynet appelait le « parrain ». 2
Bien sûr, quand, devenu Président de l’Assemblée, il la recruta comme chargée de mission à son Cabinet, les choses devinrent plus compliquées, mais bon, on ne va pas chipoter avec les « grands serviteurs de l’Etat », même si, comme disait FH (qui ne lui avait jamais pardonné son accession à un poste qu’il réservait à SR), Barto manquait singulièrement de charisme, même s’il eut la très mauvaise idée d’acheter en association avec son frère, pizzaïolo décoré de l’Ordre du Mérite pour ses qualités culinaires, AU PRIX DES DOMAINES, un beau bâtiment de banlieue dont les deux larrons firent une pizzeria joliment décorée. 3
Tout ça, ce sont de vieilles histoires.
La roue a tourné.
Le PS, massacré, a quasiment disparu.
Barto, après avoir perdu les Régionales, après avoir compris qu’il ne dirigerait pas le Grand Paris, après avoir prévu la défaite du PS, et donc son départ du perchoir, eut la sagesse de quitter la vie politique. 4
Que fait-il ? Demandai-je à des amis.
Actif comme il est, il ne peut pas se contenter de demeurer dans son appartement « à deux patates » (dixit le Canard Enchaîné) et de contempler la vue imprenable qu’il a sur Paris. 5
Bien sûr que non, me répondit-on, avec le carnet d’adresses qu’il a en sa possession et son entregent, il ne peut qu’ouvrir un « cabinet de conseil » autrement dit faire du lobbying, ce qui est un activité des plus lucrative.
Je pensais donc que, occupé à faire grossir sa pelote, Bartolone nous ficherait la paix et qu’on n’entendrait plus parler de lui.
Ni de sa femme...
Je t’en fous.
Peut-être cette dernière s’ennuyait-elle au logis ?
Peut-être est elle aussi cupide que lui ?
Je n’en sais rien.
Toujours est-il qu’on vient d’apprendre que « quelques mois après avoir quitté ses fonctions de chargée de mission au cabinet de son mari « interventions » (ce qui ne veut rien dire et tout dire) et droits des femmes, Véronique Bartolone est nommée directrice de l’environnement et de l’écologie à Est Ensemble ». 6
Soyons clairs et francs ;
Ce ne sera pas, cette fois, un emploi fictif.
VB jouit d’une bonne réputation ; elle est, me disent mes amis, et notamment Arivem, en qui j’ai toute confiance, compétente et sérieuse.
Le malheur, pour moi, l’insupportable, c’est qu’elle s‘appelle Bartolone et qu’elle symbolise un passé révolu, un passé de copains et de coquins.
Le malheur est que celui qui l’a recrutée est Gérard Cosme, maire du Pré saint Gervais grâce à Barto, Président d’Est Ensemble grâce à Barto, créature de Barto qui lui a permis d’accéder à des postes dont son manque d’envergure l’aurait tenu éloigné. 7
Les dernières élections ont permis d’écarter non pas le PS que je respecte, mais un certain système socialiste que Delphine Batho qualifie de mafieux.
Bartolone est parti, mais un bon nombre de pions qu’il avait mis en place pour asseoir son pouvoir sont encore là, et vont durer, au moins jusqu'aux prochaines consultations électorales.
Déjà, certains ont pris leurs distances avec le parrain, comme Troussel (dont je ne pense pas grand bien) ou Guiraud (bien meilleur, en tout cas plus diplomate.)
Il faut aller plus loin ; il faut complètement éradiquer le « bartolonisme ».
On y verra plus clair ; on respirera mieux.
En attendant, je pense que V. Bartolone sera une alliée efficace dans la longue joute que nous avons entrepris contre le Syctom, et pour une solution acceptable concernant le traitement de nos déchets. 8
Pour qu’elle devienne complètement acceptable, je lui suggérerais de divorcer.
De même que, comme disait l’autre en 2007, le vrai problème de Ségolène Royal, c’est son mari, celui de VB, c’est CB.
Salut à tous.
François Le Cornec
1) qui osera le faire en se souvenant qu’un élu a osé dire qu’il n’était pas d’accord, il a dans un premier temps perdu ses délégations, les a retrouvés puis plus rien ; avec une telle prise en main, peu ont le courage de lever la tête !
2) et pas qu’elle ! Nombreux sont les élus qui disaient dans son dos qu’il fallait lui baiser la main pour être adoubé.
3) la municipalité où est cette pizzeria a fait refaire la voie qui y mène.
4) officiellement ! Je doute beaucoup qu’en coulisse il ne soit pas actif.
6)directrice de l’ecologie à Est-Ensemble ? Lorsque l’on voit ce que not’bon maire en fait de l’ecologie, on se gausse ! Le parrain n’aurait-il pas imposé sa femme pour garder un œil sur sur l’ancien territoire qu’il a administré ?
7) s’il n’y avait que des compétents qui étaient aux manettes, ça se saurait !
8) certainement ! Elle doit avoir les compétences nécessaire puisqu’elle la femme du parrain !
Nous -Julia Orosco (animatrice à la Maison de la Philo) et moi-même, sommes ravies de vous convier au prochain Rendez-vous des P'tits Philosophes le samedi 3 février à 11h00 (jusqu'à 12h30 environ), pour les enfants de 6 à 12 ans.
Il portera sur le thème suivant :
"Le monde est-il un bazard bizarre ?"
Nous réfléchirons à la relation entre le normal et l'anormal, et à tous les enjeux qui y sont liés…
Rendez-vous à 11h00 à la Maison de la Philo (2ème étage de la Médiathèque Romain Rolland, rue Albert Giry) !
Il y a déjà longtemps, facétieux comme je suis, revenant des Lilas et collant négligemment de petites affiches jaunes appelant à s’opposer vigoureusement au projet de méthanisation envisagé par le Syctom dans le centre de tri des ordures du Bas Pays, projet auquel la municipalité commençait à s’opposer, mais très mollement, je jugeai spirituel d’en afficher une sur la vitrine de l’Arocafé, établissement soutenu par la municipalité et en partie financé par Cogedim que je poursuis, pour ces raisons , d’une haine vigilante.
Il se trouve que, le même jour, un opposant au même établissement injecta de la colle dans la serrure d’icelui.
Il se trouve aussi qu’un scootériste passa par là le même soir et crut, sans doute de bonne foi, que c’était moi qui avais injecté la colle.
Il se trouve encore que ce motoriste, employé municipal, est ce qu’il est convenu d’appeler une « balance » (et que, en dehors de son métier, et très illégalement, il livre des pizzas pour le compte d’un restaurant italien), un de ces individus glauques dont s’aime à s’entourer la municipalité.
Me rencontrant dans les rues du village, il affectait la plus grande cordialité, dont j’aurais peut-être été la dupe si mes copains ne m’avaient pas mis en garde.
« Salut, Père François, comment ça va ? je te lis toujours avec autant d’intérêt... »
C’est donc ce cloporte qui me « balança », mais l’affaire n’alla pas plus loin, car Stéphane W, avec qui j’étais déjà fâché, n’en était pas encore au degré de bassesse qu’il a désormais atteint.
Il se contenta de dire en substance : « Non, ce n’est pas possible que ce soit FLC » et on en resta là.
Pourquoi j’exhume cette vieille histoire peu intéressante ?
Parce qu’elle a une suite.
Le cloporte, en effet, a un frère , comme lui employé municipal, comme lui utilisé « à toutes fins » par la maire.
Un de mes amis m’accuse de radoter et de ressasser de vieilles et multiples histoires sur la maire Valls.
Mais que fait-elle d’autre, elle si méchante, si mesquine, si méprisante, qui ne passe rien à personne et ressasse les pauvres mérites qu’elle s’attribue ?
Elle ne laisse rien passer, jamais : jamais de photos des opposants, fausses rubriques d’expressions libres, réponses condescendantes aux interventions de l’opposition lors des conseils municipaux etc. Autosatisfactions multiples et redondantes dans le canard de la Ville, conçu entièrement à sa louange.
Une femme comme ça, il faut la marquer à la culotte (si j’ose dire...) et lui rendre coup pour coup, voire devancer ses attaques.
Un exemple : la Ville avait un club de foot, qui fonctionnait à la satisfaction générale.
Il avait pourtant un grave défaut : il était indépendant de la municipalité (pas comme l’Arocafé).
On lui créa donc un club concurrent (un de trop dans notre petite ville) et on le confia ... au frère du cloporte, comme ce dernier dévoué corps et âme à CV qui lui avait fourni, en échange de son asservissement, un moyen de subsistance inespéré.
Comment coexistent les deux clubs ?
Je l’ignore et tout le monde sait que je ne m’intéresse pas du tout au sport, quel qu’en soit la forme.
Je m’intéresse en revanche beaucoup à la maire (et à son concubin).
C’est pourquoi, dès qu’un de ses esclaves bouge le petit doigt, il (et elle) peut compter sur moi pour donner le maximum de publicité à l’affaire.
Or donc, à la fin de la semaine écoulée, il y a eu, rue Jean Jaurès, une échauffourée, sur les raisons et le fond de laquelle je ne me prononcerai pas.
Ce sur quoi je me prononcerai en revanche, c’est sur le fait que le président du club de foot, frère du cloporte, sortit un pistolet, qui se révéla être factice , qui envenima l’affaire, lui donna des proportions inattendues et fit que les autres protagonistes se rendirent au commissariat, où une plainte en bonne et due forme fut déposée contre le footeux.
Cette affaire, il va falloir en suivre le déroulement.
Elle montre, dès à présent, que la maire Valls confie des responsabilités à des gens problématiques, uniquement parce qu’ils lui obéissent au doigt et à l’œil, sans chercher à comprendre.
Barto, qui lui a tout appris, faisait de même, par exemple avec le député de Montreuil qui vient d’être viré et qui apparaissait dans des affaires suspectes.
Il y a, à ce propos, une autre affaire sur laquelle je ne me prononcerai pas : c’est la découverte, dans une cache de la rue de Benfleet, d’une importante quantité de cannabis (60 ou 70 kilos).
On me dit qu’il serait intéressant d’examiner de près la personnalité de l’individu mis en cause à cette occasion.
Imaginez qu’on découvre qu’il a des liens avec la mairie ?
Ça serait quand même embêtant.
En attendant, je vous dis :
Salut à tous.
François Le Cornec
Meilleurs vœux de bonheur et de santé à vous et à vos proches pour cette nouvelle année. Bientôt 6 ans que vous nous soutenez et encouragez à défendre le patrimoine de notre ville, à sauvegarder et développer un cadre de vie agréable pour tous. Ce témoignage de fidélité nous touche profondément, soyez-en toutes et tous chaleureusement remerciés.
2018 est l’année de mobilisation autour de l’élaboration du Volet Patrimonial enfin amorcé par la municipalité ! Pour l’ASVR la tâche est énorme ! C’est pourquoi nous apprécierons toutes propositions d’aides pour mener à bien ce travail et bien d’autres encore !
Dans le vif espoir de vous compter parmi nous et dans le plaisir de vous retrouver prochainement,
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