à toutes & tous, bon Noël !!
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à toutes & tous, bon Noël !!
Les photos de l'exposition ont été misent en album
sur le coté gauche de l'écran.
L'image représentant cette album est très facilement reconnaissable.
Sans eux rien n'aurait été possible !
La société « avenir » qui a mis gracieusement ses locaux du
52 Avenue Lénine à Romainville 93230.
«Aux reflets du temps ART »
La « Fédération du Parti Communiste Français ».
Le CM 98 pour le prêt « gratuit » de leurs exposition.
Pour leurs interventions :
Patrick Pierquet.
Philippe Guglielmi.
Guillemette Aubry (ancienne Maire adjointe à l'enfance).
Le 1er secrétaire de l'Ambassade du Burundi.
Le comité contre l'esclavage moderne.
Le journaliste du « Canard enchaîné ».
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Les actrices :
Christine Liétot.
La compagne de Stéphane Weisselberg.
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Pour les forces apportées, le soutien et la participation active :
La direction et les enseignants de l'école Cachin.
L'association culturelle Romainville.
Le Comité Citoyen de Romainville.
La section de Romainville du Modem.
La section de Romainville du Parti Communiste Français.
Les sections de Romainville du NPA et de la LCR.
Les actrices & acteurs pour leurs prestations.
Continuons ce résumé de la première exposition du « Comité Romainville République » au sujet de l'abolition de l'esclavage
En fin d'après-midi, il y a eu plusieurs intervenants qui ont donné des précisions sur certains points de l'expo. Avec en musique de fond la musique composée par le Chevalier de Saint-Georges.
Il y a eu :
Présentation de chacun par Patrick Pierquet.
Philippe Guglielmi
Qui nous a parlé de Victor Schoelcher qui est de ceux qui ont contribué à l'abolition de l'esclavage en 1848 ; en appuyant un peu trop (à mon avis bien sûr, et vous n'êtes pas obligé de le partager) sur les francs-maçons qui sont, il est vrai, pour beaucoup dans cette abolition !
Philippe nous a fait un historique très complet des événements de l'époque, et un peu plus d'ailleurs...
Maurice (le rédacteur de ses résumés) :
Nous a parler du fait que la Révolution Française avait aboli l'esclavage en 1794 (..) et c'était dans l'air du temps avant la révolution.
Ce n'est donc pas en 1848 que l'abolition de l'esclavage a été abolie en France, mais Napoléon a rétabli celle-ci pour faire plaisir aux planteurs des îles à sucre d'où sa femme « Joséphine de Beauharnais» était originaire.
La compagne à Stéphane Weisselberg :
Nous a lu des lettres de personnages célèbres qui ont œuvré à l'abolition (lettres qui étaient pour certaines dans cette exposition)
Christine Liétot:
Nous a lu, entre autres, une lettre d'un commandant noir qui refusait de ce rendre, lors du rétablissement de l'esclave, et qui a préféré ce faire sauter à la poudre à canon avec ses hommes (qui était bien sûr d'accord avec lui puisqu’eux aussi étaient noirs) plutôt que de ce rendre.
L'ancienne Maire adjointe à l'enfance « Guillemette... » (Elle a changé de nom, alors...) :
A pris elle aussi la parole...
Le 1er conseiller de l'ambassade du Burundi
Nous a parlé de l'action que faisait son pays cette semaine ; c'est-à-dire un marathon de la paix qui fait participer tous les acteurs de la guerre civile qui a décimé le pays pendant 12 ans avec de nombreux enfants-soldats. Et c'est par le sport qu'il arrive à ressouder la population.
Dans ce pays, les dirigeants ont résolu le problème de chacun des acteurs, par le fait que chaque ethnie avec sa place dans le gouvernement ils ont mis une personne de chacune aux postes décisifs. Par ex. : directeur pour l'un, directeur adjoint pour l'autre.
Sofia Lakhdar : du comité contre l'esclave moderne.
Nous a parlé des femmes & des hommes qui en sont victimes, surtout des femmes, et des difficultés qu'ils avaient à leurs faire prendre consciences de leurs exploitations ainsi que la manière de s'en sortir.
Le journaliste du « Canard enchaîné » Alain Guédé
grand promoteur du Chevalier de Saint George :
Nous a parlé du Chevalier de Saint-Georges longuement... c'est un passionné alors nous avons été servis (pour ceux qui aiment et j'en fais partis). Il nous a parlé de sa vie (voir les liens qui sont dans un autre article, le 3).
Le Chevalier de Saint-Georges fut le fondateur du premier régiment composé de noirs et de métis, la Légion Saint-George !
Actuellement, Alain Guédé a assemblé des Opéras du Chevalier... pour en faire un seul, il n'y a pas de partitions complètes de celles-ci à la suite des « effacements » de la part de Napoléon.
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Le mercredi, l'exposition était ouverte l'après-midi au public.
Au début, il n'y a pas eu beaucoup de visiteurs, mais tout doucement... ils sont venus, surtout en fin de journée.
Un bar était là pour que chacun puisse se désaltérer.
Là aussi la surprise fut palpable de savoir qu'il y avait eu des hommes de couleur qui ont été bien en vue dans la « bonne société de l'époque » d'avant la révolution. Et la musique entendue (du Chevalier de Saint-Georges) a été là pour leur en donner confirmation. Ainsi que pour le Général Dumas ; le père d'Alexandre Dumas père et le grand père d'Alexandre Dumas fils, qui sont comme vous le savez des écrivains célèbres, et oui, vous ne le saviez peut-être pas, mais se sont des descendants d'esclaves.
C'est sous la Révolution française que l'esclavage a été aboli, le 29 Août 1793, mais Napoléon l'a rétabli en 1802 pour faire plaisir aux planteurs des îles sucrières d'où sa femme était originaire.(Joséphine de Beauharnais de son nom réel : Marie-Josèphe-Rose de Tascher de La Pagerie)
Je vous mets à la fin de cet article des liens pour aller consulter sur internet plus d'informations.
N'hésitait pas à les consulter, mais vous risquez de ne pas en croire vos yeux, les idées reçues sont légions et là vous aurez des informations qui vont remettre en cause certaines de ses idées qui vous ont été inculquées pour des raisons qui m'échappent.
Des documents étaient à dispositions sur une table pour que chacun puisse s'informer de qui était ses personnes. Et ce ne sont pas les deux seules dans ce cas.
Cette exposition s'articulait en plusieurs panneaux :
Une donnant une explication sur l'origine de la traite des noirs pour « alimenter » en hommes les îles sucrière, et que les colons puissent gagner beaucoup plus d'argent. Entre autres.
La seconde plus petite donnait à voir les dessins et textes que les enfants ont faits.
La troisième affichait des textes et pensées intéressants et concernant l'abolition de l'esclavage.
La quatrième comportait des vidéos sur l'esclavage et « le retour à gouré », celui-ci à été fait par un musicien États-unien qui est retourné en Afrique sur les traces de ses ancêtres. Rencontre difficile entre les descendants de vendeurs et de vendus, car ne nous trompons pas, ce ne sont pas les Européens qui se sont emparés des populations noires, mais ce sont des tributs qui leurs ont fait la chasse pour les vendre à des négriers ! Nul n'est parfait !
Mais, s'il n'y avait pas eu des Européens qui les avaient incités à vendre leurs frères... l'auraient-ils fait avec d'autres comme les Arabes ?
Liens :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Bologne_de_Saint-George
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Dumas_(g%C3%A9n%C3%A9ral)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9phine_de_Beauharnais
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cret_d%27abolition_de_l%27esclavage_du_29_ao%C3%BBt_1793
http://fr.wikipedia.org/wiki/Code_noir
http://fr.wikisource.org/wiki/Code_noir
Les enfants du CM 2 (environ 50), de l'école Cachin, ont pu voir cette exposition, poser des questions, et écouter des intervenants qui leur ont expliqué pourquoi il y avait eu cette traite des noirs.
Parmi les panneaux qui étaient à consulter, il y avait les leurs.
Dessins et images qu'ils avaient faits à cette occasion avec l'aide des professeurs des écoles.
Ce qui les a semble-t-il le plus intéressé et surpris, c'est qu'il y a eu des noirs « sous l'ancien régime » qui ont eu des fonctions importantes aussi bien dans les arts que dans l'armée, comme le chevalier de Saint-Georges & le Général Dumas.
Le fait que Joseph Bologne de Saint-George, dit le chevalier de Saint-George soit un bon escrimeur et surtout redouté les a surpris, redouté... eh oui, lorsque l'on a eu les meilleurs maîtres d'armes, ça aide beaucoup !
D'ailleurs pendant leurs visites, ils entendaient de la musique composée par le Chevalier de Saint Georges.
À la fin de la visite, ils se sont désaltérés au bar... avec de l'eau bien sûr !
Tout d'abord, un sincère « merci » au propriétaire du local ; qui a mis celui-ci à notre disposition pour faire cette exposition, car la municipalité n'a pas répondu à nos demandes de mise à disposition d'un local pour la faire.
Peut-être vont-ils dire qu'ils n'ont pas reçu ses demandes ? Les Paris sont ouverts, faites vos jeux !!
C'est d'autant plus surprenant, que cette exposition entrait dans ce que fait en ce moment le conseil général et qu'elle avait son approbation (du conseil régional ).
Mardi après-midi pour les scolaires, et mercredi après-midi pour tous ceux qui ont fait la demande d'invitation, qui pouvait être faite sur place, cette exposition s’est tenue dans une bonne ambiance.
Les scolaires ont pu voir les exactions commises sur les populations pour des besoins financiers, car c'est de ça qu'il s'agit, faire du fric avec des êtres humains en les faisant travailler par la contrainte dans des conditions avilissantes et avec des méthodes TRÈS condamnables à notre époque.
À notre époque, car au moment ou cela c'est produit, pour ce qui concerne l'esclave noir, beaucoup et même beaucoup trop pensaient que c'était normal d'agir de la sorte. Il y a bien eu des « humanistes » qui ce sont élevés en dénonçant les conditions de vie de ses personnes, mais pour certains d'entre-deux c'était vraiment faux-cul, car en même temps ils avaient des actions dans des entreprises faisant la traite du bois d'ébène (nom donné aux noirs mis en esclavage).
Vous pensez que cela n'a pas changé ?
Il y a encore des faux derches ?
Ah bon ?
OÙ ?
Ne penser pas que cela soit de l'histoire ancienne à tout point de vue, actuellement en France, il y a ce que l'on peut considérer comme des esclaves ; des êtres humains qui sont exploités de personnes bien sous tout rapport, bien en vue dans la société, qui en ont chez eux !
Ils les font venir sous toute sorte de prétextes et lentement les séquestres en leur faisant accomplir des taches dans des horaires que personne ne voudrait.
À suivre pour le résumé de cette exposition.
Projection d'extraits de documentaires sur les 40 ans de Mai 68
Hier dimanche 30 novembre, il y a eu une exposition, débats, animations sonores et la représentation de la pièce « Agitations ».
Vous n'êtes pas venu ?
Vous avez eu tort !! Nombreux sont venus.
L'accueil c'est fait à partir de 14h, et le spectacle théâtral vers 15h30 comme prévu,
à « l'auberge du bois perdu » en face de la Mairie de Romainville.
Bonne pièce en plusieurs tableaux courts qui faisaient un récapitulatif des événements de 68 et l'après 68, bonne conclusion qui est « hélas » réelle.
Vous voudriez peut-être savoir ce que vous avez manqué ?
Voilà :
14h accueil des spectateurs.
De 14h à 15h30 : exposition « Mai 68 » en 19 panneaux de l'association « aux reflets du temps », conçue et écrite par Patrick Pierquet.
Exposition sonore conçue et réalisée par Mouloud Choutri.
Projection du reportage : « Mets 68 : entrée, plat, ou dessert ?»
d'Elie Weisselberg et Hypollite Bourdet.
15h30 (durée 1h) : première représentation de la pièce de théâtre : « Agitations 68 ».
Écrite par Émilie Sandre.
Mise en scène par Christine Liétot.
Costume : Guillemette Aubry.
Bande son : Dan Crawley.
Régie son : Mouloud Choutri.
Avec :
Yannick A, Guillemette A, Ali B, Dan C, Laurent J, Nourredine Km/h, Elisa C, Christine L, Isabelle M, Manu T, Stéphane W, Denis R.
18h, débat :
« Que reste-t-il de Mai 68 ? »
18h : re... car il y avait deux représentations et débats.
Projection d'extraits de documentaires sur Mai 68.
Merci tout particulièrement à :
Nadia & Driss qui nous ont accueillis à « l'auberge du Bois Perdu ».
À l'association « aux reflets du temps »
À Patrick Pierquet.
À la structure « via le Monde ».
Une annonce a été faite disant que la municipalité avait « essayé » d'empêcher la tenue de cette expo. Par des moyens pour le moins douteux. De ce que j'en sais, cela n'en restera pas là.
Comment peut-on agir de la sorte alors que « pas grand-chose » n'est fait à Romainville pour la culture !
Rappelez-vous ce que la municipalité a dit au sujet de « salaison »; qu'elle soutenait cette initiative !
Et bien, ce même jour (30 novembre), elle fermait par manque de fonds !! Ils avaient épuisé ce qu'ils avaient. Bel exemple de soutien.
Qui veut être soutenu par eux ?!
Hum... ?! Dois-je mettre un amplificateur de son à mon oreille ou chausser des lunettes ?
Des représentants de « la ferme Carnot » étaient présents et ils nous ont, une fois de plus mais pas de trop, expliqués comme cela c'était passé entre-eux & la municipalité... Ce n'est pas très glorieux pour cette dernière.
Relisez les articles qui ont été faits à ce sujet sur ce blogue ou les autres blogues Romainvillois : cela vous éclairerait, si toutefois il y avait besoin, de ce que fait cette municipalité pour la culture autre que celle « qu'elle veut imposer ».
Soyez dans leurs lignes, sinon... pan pan cul-cul !!
Des photos vont être mises en ligne dans un album
visible sur le côté gauche de l'écran.
Chers ami(e)s,
Un peu de culture à Romainville (particulièrement mise à mal ces derniers temps dans notre ville. Rappelez-vous la ferme Carnot ndr), un peu de détente et de rire, un peu de résistance, un peu, beaucoup, passionnément de revendications
C'est à l'Auberge du Bois perdu (café en face de la mairie et c'est un hasard) le dimanche 30 novembre à partir de 14h. Et c'est gratuit !!! passées, actuelles et à venir !?
C'est sur mai 68 et c'est à l'initiative du Comité Citoyen Romainvillois !
C'est du théâtre,
Une exposition des évènements de l'année sur le plan international,
Une exposition sonore,
Un reportage/témoignage de jeunes,
Des débats,
De la musique,
Et de la bonne humeur !
Alors, il ne faut plus hésiter, réserver son dimanche et nous faire part de votre venue (les places sont limitées).
Amitiés sincères,
Stéphane Weisselberg.
Un regain d'intérêt au XXe siècle
La truite à fourrure survit dans quelques rares lacs arctiques au nord du 72e parallèle. Les scientifiques considèrent qu'il n'en existe peut-être pas plus d'une centaine de spécimens aujourd'hui et que c'est la grande profondeur et la froideur extrême des eaux dans lesquelles vit ce poisson qui l'auraient conduit à se couvrir d'une épaisse fourrure.
Le premier spécimen connu fut capturé dans les eaux d'un fleuve canadien par le chevalier Grégoire de Fronsac, explorateur sous le règne de Louis XV. Conservée par les soins d'un taxidermiste, cette truite à fourrure fut présentée en France au château de Besque en 1764, où elle souleva d'autant plus les passions que le philosophe et naturaliste Buffon publiait à la même époque, avec le succès que l'on sait, son Histoire naturelle (36 volumes parus de 1749 à 1789) : il y établissait un inventaire de toutes les espèces vivantes, avec une volonté de classification rigoureuse, d'ordonnancement logique - et la truite à fourrure était une évolution naturelle jusqu'alors inconnue de lui.
Allez sur le site pour vous inscrire et militer.
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