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11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 09:27

L'automne arrive, les feuilles d’impôts aussi !

(elles tombent dans la boîte aux lettres)

 

 

À l'automne, les feuilles tombent, dans nos boîtes aux lettres aussi, du moins elles y sont déposées par le facteur appelé d'un nom pompeux de distributeur de courrier.

 

Vous avez dû recevoir vos impôts – taxes foncières -, par curiosité lisez en dernière page la colonne « taxes spéciales » et « taxes ordures ménagères ».

Pour la première taxe citée, il y a eu une augmentation de 57,14 %.

Pour la seconde taxe citée, l'augmentation est de 11,56 % ! (sur celle que nous avons reçue n'est peut-être pas beaucoup différentes pour la votre)

Les autres colonnes augmentent aussi, mais de façon bien moindre.

 

Mazette ! En voilà une belle augmentation, il y a longtemps que nous n'en avions pas eu une aussi importante !

Qui a vu une amélioration dans le ramassage des ordures ménagères ? En tout cas pas dans la rue où nous habitons ! Qu'est-ce qui justifie une augmentation de plus de 11 % ?

Et les « taxes spéciales » qu’ont-elles de spéciales ses taxes ? Le fait que nous ne pouvons pas savoir à quoi elles correspondent. En tout cas elles sont bien spéciales avec plus de 57 % d'augmentations ! Vache … 57 % !

 

L’impôt sur le revenu est « paraît-il » en diminution, mais si c'est pour augmenter les taxes … où est l'avantage ? Oh bien sûr, il va nous être dit que ses taxes ne représentent pas beaucoup en €, est-ce ce qui compte le montant ou le pourcentage ? Dans ce cas, augmentons à tout va puisque ce n'est pas beaucoup ! NON ! Des politiques nous la jouent faux-derche !

 

Et, tenez-vous bien, il y a des frais (comme les autres fois, mais pendant que nous y sommes ne nous retenons plus) de gestion de la fiscalité directe locale de 61 € ! comme si la gestion était encore faite à la main et non par un logiciel.

Cela ne vaux que pour MA feuille d'imposition, vous avez peut-être moins ou plus.

 

N'ot bon maire va-t-elle nous pondre un discours justifiant ses sommes ? Avons-nous vu une amélioration quelconque dans notre vie à Romainville ?

Concernant le nettoyage de la ville, la cité Cachin n'est pas triste vers la maison des retraités ! (je vais y revenir avec des photos)

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15 décembre 2006 5 15 /12 /décembre /2006 10:23



Allez lire l’article de 20 minutes, au sujet des impôts fonciers



http://www.20minutes.fr/articles/2006/11/29/20061129-actualite-economique-L-Ile-de-France-garde-les-taux-les-plus-bas-mais-ils-explosent.php

 

Mieux que de répondre à un début de polémique, cet article confirme le mien.

Et je ne veux pas répondre à un amalgame de chiffres, et sigles qu’il faut déchiffrer.

Pour ma part, + 229 € c’est une augmentation ! Pas pour vous cher lecteur ?

Mais je dois reconnaître que cette personne à au moins la correction de ne pas être anonyme, contrairement à d’autre sur le cactus rouge !

À condition que cela soit lui qui l’a rédigé.

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10 décembre 2006 7 10 /12 /décembre /2006 18:08




Alors comme ça

les impôts fonciers diminues ?



Pour un pavillon :

En %

 

Commune

Département

Région

Ordure ménagère

Année 2001

+ 0.99

+ 1.03

+ 1.32

+ 0.005

Année 2002

+ 3.01

+ 4.12

+ 4.35

+ 0.0012

Année 2003

+ 3.56

+ 4.46

+ 0

+ 0.0005

Année 2004

- 18.30

+ 1.42

+ 0

+ 6.20

Année 2005

+ 3.61

+ 9.81

+ 29.17

+ 4.57

Année 2006

+ 2.61

+ 11.49

+ 19.35

+ 1.64

 

Total :

Différence entre 2001 & 2006 : + 229 €

 

 

Pour un appartement :

En %

 

commune

Département

Région

Ordure ménagère

Année 2001

+ 0.95

+ 0.99

+ 1.64

+ 0.005

Année 2002

+ 2.94

+ 3.85

+ 0

+ 0.0012

Année 2003

+ 3.49

+ 4.94

+ 11.11

- 0.0001

Année 2004

- 18.10

+ 1.18

+ 0

+ 6.20

Année 2005

+ 3.75

+ 9.30

+ 20

+ 4.29

Année 2006

+ 2.53

+ 11.70

+ 25

+ 2.74


Total : Différence entre 2001 & 2006 : + 80 €

+ 80 €

 

Bien sûr, à Romainville.

Données relevées sur des feuilles d’impôts.

Faites de même, et vous pourrez constater des augmentations similaires, ne faisons pas confiance à l’écrit d’où qu’il vient

Mon porte-monnaie n’a pas vu la baisse, moi n’on plu !





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9 décembre 2006 6 09 /12 /décembre /2006 17:43

 

Je n’ai pas osé & promis juré craché,

je ne le ferai, plus !

Dans l’article qui fait réponse à celui du MCC dans le journal municipal, je ne suis autocensuré*. (C’est tout à fait le terme)

Après en avoir parlé avec d’autres habitants du quartier, je n’aurai pas du.

Rectifié !

*autocensure

nom féminin

 Censure pratiquée par soi-même sur ses propres écrits, paroles ou actes, et anticipant une censure présumée.

© Larousse 2005

>>>>><<<<<

 

A la lecture de l’article du groupe MCC, dans le journal municipal dernière page, je me suis demandé si c’était de la pure démagogie* ou du bourrage de crâne ! (C’est idem)

Ainsi, les impôts fonciers ont diminués à Romainville entre 2001 et 2005, avec comme preuves un article parut dans le journal « le Parisien » du 27/11/2006 édition nationale. (Info écrite dans l’article)

 

* démagogie

nom féminin

(grec dêmagôgia)

 Action de flatter les aspirations à la facilité et les passions des masses populaires pour obtenir ou conserver le pouvoir ou pour accroître sa popularité.

© Larousse 2005

 



 

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8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 11:23

Pour les impatiens :


En attendant que je mette en ligne l’article contenant les détails des taxes foncières entre les années 2001 et 2005, voici l’adresse d’un site que vous allez aimer.

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=16369&vo=21#sondage

Et pour ceux qui ne veulent pas y aller, ou qui n’y arrive pas, voici un C. C.

<<<<<<<<<>>>>>>>>>>
 
Impôt foncier :
grossière manipulation de l’Union des propriétaires


L’Union nationale de la propriété immobilière (UNPI) a publié la semaine dernière un communiqué dénonçant la hausse de la pression fiscale sur l’immobilier. C’est le premier commentaire des travaux d’un nouvel observatoire indépendant créé par l’UNPI. L’indépendance doit-elle servir à dire n’importe quoi? On comprend bien que les propriétaires appellent les élus locaux à la modération fiscale, mais face à l’opacité de l’impôt foncier dans notre pays, la dénonciation de la hausse de la pression fiscale est particulièrement malheureuse, parce que la seule chose que l’on puisse à peu près valablement affirmer, c’est une baisse!

Tout commence par deux chiffres simples : le montant perçu pour les taxes foncières sur les propriétés bâties est passé de 13,995 milliards en 1995 à 24,002 milliards d’euros en 2005, soit une augmentation de 71% en dix ans, très supérieure à l’inflation. Le premier gros problème de cette présentation, c’est qu’on y additionne des torchons et des serviettes puisque, comme le fait remarquer Philippe Laurent, le président de la Commission des finances de l’Association des maires de France (AMF), dans les 24 milliards on trouve 5 milliards de taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) et 5 milliards de foncier bâti industriel.
La TEOM est un impôt de service répercuté sur les locataires, quant aux 5 milliards de bâti industriel ils concernent essentiellement le patrimoine des entreprises et non celui des particuliers.

Ensuite, il y a un gros problème sur la notion de pression fiscale. La définition ordinaire du « coefficient de mobilisation du potentiel fiscal » dans les collectivités locales consiste à comparer le produit fiscal perçu au produit fiscal que l’on aurait perçu en appliquant le taux moyen national. En fait, cette définition permet de comparer la fiscalité d’une commune par rapport aux autres, mais cela n’apporte rien dans une lecture globale puisque, avec cette définition, la pression fiscale globale reste par définition constante et égale à 1.

Si l’on veut bien s’écarter d’une définition académique, il s’agit tout de même de faire le rapport entre la valeur du patrimoine et l’impôt prélevé. Et là, patatras ! Même avec une hausse de 71% sur dix ans, on découvre que la variation est inférieure à celle de l’augmentation du patrimoine immobilier : 80% sur huit ans, entre 1995 et 2003, d’après l’Insee ! Si le capital augmente plus vite que le produit des impôts, la pression fiscale baisse.
Dans son communiqué de presse, l’UNPI appelle les élus à la modération fiscale parce que « les dépenses liées à la taxe d’habitation et aux taxes foncières sont énormes par rapport aux revenus des personnes modestes ».
On se demande immédiatement si on ne va pas nous refaire le coup du malheureux propriétaire de l’Ile-de-Ré, victime de l’ISF, réduit à vendre une partie de son bien, devant les caméras de TF1. Parmi les propriétaires, il y a bien sûr de modestes propriétaires de pavillons de banlieue, endettés, qui doivent compter chaque mois. Il y a aussi des bailleurs sociaux.

On serait content que l’UNPI s’intéresse aux revenus des personnes modestes, mais comment croire deux secondes à la sincérité de la préoccupation d’intérêt général sur la base de l’amalgame d’intérêts sociaux qu’on nous présente là ?

L’absence de transparence laisse quartier libre à la démagogie
La loi de Robien a beaucoup contribué à la hausse du prix de l’immobilier, ce dont l’UNPI semble oublier de se plaindre, d’où la baisse de la pression fiscale. Et pourtant, de nombreuses villes de province commencent à s’inquiéter de la montée du stock de logements vides issus de la défiscalisation dont bénéficient les propriétaires aisés, et indirectement les constructeurs de logements neufs.
Cela inquiète d’ailleurs les bailleurs sociaux, beaucoup ont déjà deviné ce qu’on va leur demander dans les années, si ce n’est dans les mois à venir : reprendre des immeubles pas toujours bien adaptés aux besoins de la demande sociale de location, pour limiter la casse dans l’immobilier privé financé à coups de déductions fiscales.

L’impôt foncier souffre surtout d’une grande inégalité entre les communes parce que la base de calcul est archaïque dans ses modalités comme dans ses valorisations. Tout cela date des années 1970 avec une mise à jour qui ne fonctionne pas correctement. La comparaison des taux d’imposition d’une ville à l’autre n’indique pas la réalité des écarts. L’absence de transparence est un vrai problème, il n’y a pas de rapport lisible entre la valeur du patrimoine et l’impôt. Par ailleurs, le taux de l’impôt foncier est le moins encadré des « quatre vieilles » taxes locales, donc il monte plus vite que la taxe d’habitation ou que la taxe professionnelle, c’est tout à fait vrai. En réalité, on a bien du mal à savoir quoi que ce soit de cohérent.
La notion même de pression fiscale est trop floue : bien entendu, si la bulle spéculative sur le foncier éclate, le montant de l’impôt foncier ne baissera pas. La stabilité est la vertu de l’impôt foncier pour les collectivités locales, mais l’opacité du système finit par ouvrir la porte à toutes les démagogies et permet ainsi à l’UNPI de dire à peu près n’importe quoi.
Pour suivre l’impôt foncier, la Direction générale des impôts fournit aux mairies un logiciel particulièrement verrouillé, appelé VisDGI. Résultat, pratiquement aucun employé municipal n’est en mesure d’expliquer correctement au contribuable le pourquoi du comment dans le calcul d’une feuille de taxe foncière. Théoriquement, il est aussi interdit de donner une photocopie du cadastre dans une mairie.
Cela suffit ! Alors que, regardez le rôle de taxation de Gatineau, par exemple le 20 rue du Cabernet, c’est transparent, compréhensible et ouvert à tous. Nous ne sommes pas plus bêtes que nos cousins d’Amérique du Nord : l’impotence de certaines de nos administrations publiques laisse quartier libre aux pires démagogies motivées par des intérêts privés.    



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7 décembre 2006 4 07 /12 /décembre /2006 10:53

Les impôts fonciers ont diminué ?


A la lecture de l’article du groupe MCC, dans le journal municipal dernière page, je me suis demandé si ce n’était pas du bourrage de crâne !

Ainsi, les impôts fonciers ont diminués à Romainville entre 2001 et 2005, avec comme preuves un article parut dans le journal « le Parisien » du 27/11/2006 édition nationale. (Info écrite dans l’artile)

Je sais, et mon porte-monnaie aussi, que ce n’est pas la réalité, mais, je vais vérifié les feuilles d’impôts pour le cas ou ma mémoire soit défaillante vue mon grand âge
:), je vous propose de lire la suite, lorsque j’aurai fait un tableau comparatif, et comme c’est dit familièrement : vous n’allez pas être déçu !!

N’oublions pas que les financements d’où qu’ils viennent et quels qu’ils soient, sont des impôts pris dans notre poche ! Même dilué au niveau du département ou région, qu’ils soient des emprunts ou subventions, cela vient de notre porte-monnaie. Donc, ne nous leurrons pas, ou mieux : ne nous laissons pas leurrez !

Et, comme le hasard fait bien les choses (belle formule qui ne veut pas dire grand-chose, mais que presque chacun emploi lorsque cela lui convient) il y a eu le 06/12/2006 à 17h50, sur la chaîne 5, une émission qui s’appelle « C dans l’air » qui avait comme thème :
Impôts locaux : l'explosion
Elle est regardable par internet, j’ai vérifié.



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