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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 11:58
 

 

 

Bien que rien de chez rien ne m'oblige a le faire, le droit de réponse ne concerne que la presse déclarée comme les journaux écrits, radio, TV, etc. les blogues n'en font pas partis ! Prendre mon blogue pour un média ayant cette importance est pour le moins déplacé OU mal informé. Et la référence au décret cité demande une lecture un peu plus attentive de la part de la personne qui y fait référence. À vous cher lecteur, de choisir.

De plus, je le passe, car Lotti confirme ce que François écrivait ! Il pour le moins amusant de lire sa prose cherchant à prouver le contraire de ce qu'écrivait François, et apportant les preuves que c'est vrai. Je l'ai écrit par ailleurs, mais s'il y en a d'autres du même tonneau... n'hésitez pas. (je ne vous appelle pas comme vous l'avez fait « mon cher », n'allons pas trop loin, ce serait faux derche)


Vous avez donc en dessous le texte que m'a envoyé Bruno Lotti essayant de ce disculper.

Bonne lecture... si vous ne l'avez pas encore fait puisqu'il (Lotti) a jugé bon de l'envoyer à une pléthore de Romainvillois !

 

(je le mets tel quel, sans aucune modification, lisez vous comprendrez)

 




François LE CORNEC a une nouvelle fois péché par incontinence en se prêtant à des allégations qui me mettent personnellement en cause ainsi que certains membres de ma famille.
  •  

     

    De tels procédés, qui s'inscrivent dans une longue succession d'écrits diffamatoires, prêteraient à sourire s'ils n'étaient le reflet d'un penchant morbide pour l'hallali et le lynchage en place publique. N'attendez surtout pas de François LE CORNEC qu'il traite des enjeux posés par le scrutin régional. Les transports collectifs, la recherche, la formation professionnelle, l'emploi, l'environnement, le développement économique, tout ça ne l'émeut guère. Il avoue d'ailleurs benoîtement n'aller voter que pour contenter l'un de ses  proches, ce qui ne l'empêche pas pour autant d'exhorter ses lecteurs à rejeter les listes présentées par le Parti socialiste. Il est vrai que le personnage n'en est pas à un paradoxe près, car après avoir été durant des années l'un des thuriféraires de Corinne VALLS, il s'est mué, tel un amoureux éconduit, en farouche opposant au Maire actuel – non sur des éléments programmatiques, ce qui serait son droit le plus strict– mais sur des aspects personnels, n'hésitant pas à colporter rumeurs malveillantes et insinuations macabres à l'encontre du Maire et de tout ceux qui l'entourent. Sa dernière marotte, c'est la collecte des déchets par pneumatique, qu'il appelle poétiquement « pompe à merde ». Je ne saurais que trop lui conseiller de prendre garde à ne point se faire aspirer...

     

    Par sa missive, en date du 10 mars dernier, François LE CORNEC est cependant allé trop loin. Il avait certes déjà flirté avec la ligne jaune en apportant sa contribution personnelle au mythe du complot maçonnique qui régirait selon lui Romainville, l'univers et sa périphérie. Aujourd'hui, un cap supplémentaire a été franchi par la diffusion de contre-vérités outrageusement mensongères visant ma propre famille et en particulier un dénommé Julien LOTTI dont l'état civil semble agacer.

     

    De telles allégations sont évidemment très graves car elles font planer l'ombre d'une prise illégale d'intérêt dans le cadre de la cession des terrains NOKIA à NEXITY, insinuant que ladite cession aurait été en partie conditionnée par le recrutement de mon jeune frère, ce qui relève à l'évidence du pur fantasme. En voici la preuve : après avoir préparé une licence de droit à l'université Paris II, Julien, qui souhaite opter pour un cycle de spécialisation, rejoint les 3 500 collaborateurs du groupe NEXITY dans le cadre d'un stage (juin-août 2004). Ce stage est non-rémunéré. A l'issue de celui-ci, il se voit proposer en accord avec son école et dans le cadre d'une formation en alternance de poursuivre chez NEXITY en tant que responsable de programme adjoint. Ce n'est qu'en septembre 2006, à l'issue d'une formation de deux ans et son diplôme de spécialisation en poche que lui est proposé un poste de responsable de programme. La cession de l'emprise NOKIA ayant été opérée courant 2008, celle-ci est donc postérieure de 4 années à l'entrée de Julien chez NEXITY. Les deux événements sont par conséquents en tous points déconnectés. Rappelons, pour clore le débat, que Julien n'a pas compétence à intervenir sur le dossier de Romainville puisqu’à ce jour l'essentiel de ses missions s'effectuent en province.

     

    Jamais en rade de formol, François Le CORNEC en vient ensuite à exhumer une « ténébreuse affaire » selon laquelle des appuis bienveillants auraient facilité mon embauche au sein des services communaux. Je reconnais très tranquillement avoir été embauché par la ville à temps plein entre juin et décembre 2004, avant de rejoindre le Conseil général. Non en tant qu'agent communal, comme le laisse penser FLC, mais en qualité de collaborateur politique, c'est à dire en application de l'article 110 de la loi du 26 janvier 1984. J'ai la faiblesse de penser que mon humble parcours confirme après coup ma légitimité à avoir exercé ce poste !

     

    Un mot enfin sur mon ex-maire adjoint de père. Jean-Claude LOTTI conserve non pas des intérêts sur la ville comme le claironne FLC, mais bien un intérêt pour la ville, celui de voir Romainville relever le défi du développement économique pour lequel il a tant oeuvré. 

     

    Je vous parlerais bien de ma maman (une enseignante au casier bien rempli), de mes grands-parents (l'incendie du Reichstag, c'était eux), ou de mon cousin Christophe (infirmier de son état et donc de mêche avec Sanofi-Aventis) car de tels sujets intéressent à coup sûr les 11 millions de Franciliens concernés par les élections des dimanche 14 et  21 mars prochain. Dommage que la place me manque.

     

    En guise de conclusion, je veux avouer la longue hésitation qui fut la mienne avant de formuler ce droit de réponse. Les ragots, les coups bas, les jets de fiels ont beau être la marque de fabrique de certains, ils ne correspondent pas à la conception que je me fais de l'action publique. L'atmosphère détestable de cette campagne marquée par des attaques nauséabondes, d'Ali SOUMARE à Julien LOTTI, aurait sans doute mérité

 

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