Et encore une valse au sujet du PLU ? !

Pas de modification du PLU rue des ormes.

La modification du PLU concernant la parcelle située rue des ormes, qui doit être dépolluée par la société Ginkgo, ne se fera pas d’après un article qui paraît dans Le Parisien de ce matin 25 février. L'information a été donnée à la journaliste par l’élu mairie-adjoint chargé de l'urbanisme « on a décidé de laisser tomber » aurait dit celui-ci. Pour en arriver à ça, il faut qu'il y ait des arguments importants dans le plateau de la balance, ce n'est pas le genre des élus concernés de baisser les bras. Cet élu est encore présenté comme DVG (comme not'bon maire) alors qu'il n'y a pas si longtemps il était MGC, celui-ci n'existerait plus ?

Paraît-il que la société Ginkgo n'a pas clairement spécifié ou demandé le changement de PLU. Qui ne serait pas surpris que des sociétés ne demandent pas spécifiquement un changement de PLU mais le fassent comprendre bien clairement ? ! Qui ne se souviens pas du changement de PLU au bas-pays qui ont permis à des promoteurs de faire des balcons de plus d'un mètre ? (soit presque des terrasses),

Mais attention, d’après l'article, le non-changement de PLU ne concerne que la parcelle de l'usine Wipelec, et pour les autres parcelles ? Faut-il que les riverains s’inquiètent ? Ils ont intérêt à se tenir sur leurs gardes, à bien surveiller les modifications futures.

Plus loin dans l'article, il nous est dit que la société ne laisse pas tomber, mais « suspend le chantier en cours pour trois mois », d’après la municipalité.

Le directeur de la société attendrait l'autorisation de la préfecture ; cette société aurait commencé une dépollution du site sans en avoir l'autorisation ? À qui veut-on faire croire ça ? Comme si un responsable de tels travaux s'engageait dans une dépollution aussi importante de site sans avoir obtenu d'autorisation, nous prendrait-on pour des neuneus ?

Paraît-il que c'est suite à l'action d'une association de riverains que la société Ginkgo « à décidé de laisser tomber » (dixit l'article). Les travaux sont interrompus, car la société « est fatiguée de la pression faite par les riverains », ce serait bien une des rares fois ou une société se souciait des riverains ! Les exemples sont nombreux à Romainville où des sociétés se moquaient complètement de ce que pensent les riverains, certaines d’entre elles ont même déposé plaintes contre des riverains qui contestaient le permis de construire, permis qui fut annulé par manque de respect des limites de constructions. Et une autres pour nous respect des règles des bâtiments de France. (Rien que ça !)